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Lecture d'un chapitre



Lecture du chapitre 3
Nom de l'œuvre : Tout est possible [Héros2016] Nom du chapitre : Chapitre 3/9
Écrit par FIRSTCLASS Chapitre publié le : 14/8/2016 à 04:23
Œuvre lue 6143 fois Dernière édition le : 14/8/2016 à 04:23
La fin de la journée approchait et la grande soirée ou du moins c’était l’une des grandes soirées sur l’île était sur le point de commencer. La grande scène où se dérouleraient les numéros de chants, de magiciens, de danse et bien d’autres était maintenant installée. Seuls quelques réglages de dernière minute restaient à faire. Le propriétaire de l’hôtel était là, admiratif de toute cette beauté.

Jean (tout émoustillé) : Que c’est beau ! Il faut que je choisisse les chaussures que je vais mettre, ce soir. Du coup que je trouve l’homme parfait.

De leur côté, Richard et Agnès étaient revenus de leur campement sur le volcan avec une bonne nouvelle pour leur équipe, mais tous étaient préoccupés par autre chose, à savoir la soirée.

Maryse (maquillée, habillée et impatiente) : Désolé à vous deux, je sens que vous avez une bonne nouvelle à nous dire, mais ce soir, je veux penser à autre chose et personne ne pourra gâcher cette soirée. Je compte sur toi Lippoutou pour noter les résultats pendant mon absence, puisque les résultats devraient arriver d'ici quelques minutes.

Kevin : Maryse, compte sur moi pour mettre le feu et j’amène Sébastien avec moi.

Sébastien(surpris) : Pourquoi ?

Kevin : Je vais te montrer ce que l’on ressent lorsque l'on sort de notre zone de confort.

Christian : Ne dérape pas Kevin.

Paul : Moi, je compte m’assoir au bar et profiter du moment.

Richard voyait que tous n’avaient pas l’idée de parler de science.

Richard : Très bien, vous avez gagné, on en reparlera demain. Je vous suis.

Agnès : Partez sans moi, je dois me changer avant. On se revoit tantôt.

Christian : Très bien maman, à tantôt !

Tous embarquèrent, sauf Agnès, dans des camions séparés, en fait deux, en direction du complexe hôtelier.
Profitant de ce moment, seule dans sa chambre où personne n’avait le droit d’y entrer pendant son absence, car elle souhaitait garder une certaine intimité vis-à-vis eux, Agnès se mit à fixer son grand et long miroir lorsqu’elle sortit de sa pokéball Kadabra et lui demanda d’utiliser son attaque télékinésie.

Agnès : Pourrais-tu, avant que l'on continu notre chemin, déplacer ce miroir et le mettre sur le bord de la fenêtre pour nous laissez-passer, s’il te plaît.

Par ces pouvoirs psychiques, le pokémon souleva le grand miroir lequel laissa apparaître un long couloir sinistre menant nul ne s’est où.

Agnès : Mon fidèle ami, dirige-nous vers la fin de ce couloir s'il te plait, mais fait attention à ne pas me blesser. Personne ne doit savoir pour ceci.

Les deux amis flottaient à travers la noirceur. Ils étaient entourés de parois rocheuses lesquelles leur donnaient l’impression de descendre jusqu’au centre de la Terre. La dame était toujours calme, sans crainte de voir ce qu’elle pourrait rencontrer à la fin comme si elle savait déjà ce qui se trouverait devant elle lorsqu’ils seront arrivés à la fin du corridor.

Agnès : Il fait de plus en plus chaud, on arrive très bientôt. N’oublie pas de garder le secret sur ce que tu vas voir.

Quelques instants après, elle arriva et déposa ses pieds sur une large, longue et épaisse paroi. Au milieu de celle-ci, un homme se trouvait là. Il était assis devant de nombreux ordinateurs, dont quelques-uns montraient différents secteurs de la région d’Unys, de Kanto, de Johto, d’Hoenn, de Sinnoh, d’Oblivia, de Kalos et d’Alola.

Agnès : Je continue à dire que ton minotaupe a fait un tunnel impeccable !

L’Inconnu : Tu voies qu’ils sont précieux

Agnès (d’une voix inquiète) : Par contre, je pense qu’on va avoir un problème. Mon collègue Richard a trouvé la chambre magmatique.

Inconnu (d’un calme imperturbable) : Ah oui, c’est normal, aujourd’hui j’ai donné congé à Lewsor. Il n’a donc pas pu renvoyer les ondes à la surface, mais ce n’est pas grave, car le temps approche à très grand pas de toute façon. Cependant…

Agnès (muette de terreur) : Ne me dit pas......

Inconnu (par un visage de glace) : Oui, ce soir, ce sera la dernière fois qu’il percevra la lumière du jour. Mais je le fais pour son bien.

La dame était en larmes de voir l’avenir de son ami Richard s’éteindre.

Agnès : Pourquoi ?

Inconnu : S’ils apprenaient l’existence de cette chambre, c’est la prospérité de l’humanité qui sera détruite et je ne veux pas en être responsable. Il me remerciera lorsqu’il sera au ciel.

Agnès (compatissante) : Je n’oublierais jamais ce que tu m’as montré la première fois qu’on s’est rencontré sur l’île.

Inconnu : Dire que le progrès nous a amenés à cela. Jamais l’homme aurait dû évoluer, car le sang qui coule sur ces mains n’est pas le sien, mais celui qu'il a déjà aimé.

Agnès : Mais si tu es là, n’est-il pas possible de croire que d’autres comme toi soient ici ?

Inconnu : Ce serait peu probable, mais possible, car lorsque je suis rentré dans la machine laquelle était l’invention de moi et de mon équipe, et ce, avec l’idée que je ne reverrais jamais ceux que j’ai connus. Certains souhaitaient revenir également dans le passé, mais pour redonner une chance à l’humanité. Il se peut donc que certains se soient reculés plus loin dans le temps et tentent de sauver le monde de sa destruction.

Agnès : Ce serait merveilleux !

Inconnu : Je suis bien d’accord, mais si telle était le cas, lorsque je suis arrivé à votre époque, le monde se porterait déjà mieux, ce qui n’est pas le cas malheureusement, mais ils peuvent cependant s’être envoyés dans la même année que moi et tentent actuellement d’améliorer l’avenir, ce qui expliquerait que rien n’a encore changé.

Il eut un long silence.

Inconnu (sérieux) : Et dis-toi que si quelques-uns se sont envoyés dans le passé, ils ont gardé les mêmes facultés que moi !
L’ambiance dans la chambre venait de changer. La femme réalisa que le moment approchait et que c’était vrai, mais qu’elle serait également la complice de cette catastrophe naturelle.

Agnès : Certains vont dire que tu fais une erreur et moi aussi en te laissant faire cela, mais on commence déjà à voir les conséquences.... Et que je ne peux pas douter de ta parole, mon enfant, après tout le temps qu’on a passé ensemble.

L’homme répondit par un simple geste de la tête. Puis Agnès se rappela la raison de sa visite tardive ici.

Agnès : Vas-tu venir à la fête ?

Inconnu : Comme chaque fois grand-mère !
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