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Lecture d'un chapitre



Lecture du chapitre 4
Nom de l'œuvre : Tout est possible [Héros2016] Nom du chapitre : Chapitre 4/9
Écrit par FIRSTCLASS Chapitre publié le : 14/8/2016 à 04:29
Œuvre lue 6144 fois Dernière édition le : 14/8/2016 à 04:29
L’animateur (habillé d’un complet et d’un micro à la main) : Mesdames et Messieurs, jeunes femmes et jeunes hommes, le spectacle peut maintenant commencer. Vous avez attendu ce moment avec impatience, car je sais, certains d’entre vous ont un grand besoin d’oublier leur travail, et ce, pour un court instant et cet hôtel sera ravi d’exaucer vos attentes.

Carlos (exubérant) : Vous ne savez pas à quel point !

Igor (impatient) : S’y j’entends un autre écologiste me parler de feuilles, je vais exploser de rage.

Miranda (fière) : Réalisent-ils que, sans nous, ils seraient misérables. Si je pouvais seulement devenir encore plus riche sans eux......

À leur table privée, puisqu’au fil du temps, une certaine amitié s’était formée entre eux et le grand propriétaire de l’hôtel. En effet, il leur laissait toujours profiter des installations tout à fait gratuitement, mais aussi d’une possibilité de demander une chambre pour la nuit en cas de besoin. Tous semblaient donc s’amuser, même Paul ne pouvait pas s’empêcher de rire à entendre l’humoriste spécialement venu d’Europe pour ce soir.

Paul (heureux) : Il est malade, ce type ! Je pourrais l’écouter pendant des heures !

Agnès était maintenant là elle aussi et s’amusait comme les autres comme si rien auparavant ne s’était passé.

Agnès : Non merci, pas d’alcool pour moi, mon corps ne tolère plus l’alcool.

Mais pendant ce temps également, au laboratoire, les résultats de l’analyse venaient de sortir et Lippoutou était là pour voir les résultats. Ce qu’elle aperçut était tout à fait normal à ses yeux, hormis le fait, selon elle, qu’il soit totalement illogique qu’une éruption ait eu lieu à cet endroit précis et sans que personne ne l’aperçoive, mais aussi que cet échantillon contenait des traces de plasmas.

Suivant cette constatation, Lippoutou ouvrit la porte du labo avec l’idée d’avertir son collègue, mais elle tomba face à face avec Agnès.

Agnès : Mais qui voilà !

Lippoutou (se croyant seule depuis le début) : Lippou ?

Agnès : Tu es surprise de me voir ?

Lippoutou : Lippou lippou !

Agnès : Et bien moi non. Je t’observe depuis longtemps et j’ai vu en toi une chercheuse de grand talent. Par contre, je suis un peu embêté de te demander ça, mais pourrais-tu me montrer ces échantillons et les résultats qui viennent d’arriver.

Lippoutou : Lippou lippou lippou, lippoutou !

Le pokemon se recula d’un pas par méfiance, car elle avait vu la dame partir il y a quelques minutes et habiller d’une différente façon.

Agnès : Mais qu’est-ce qui t’arrive, dis-moi ? Tu ne me reconnais pas, ces moi, la vieille Agnès.

Le pokemon voulait continuer son chemin par appréhension, mais c’était impossible pour elle, car Agnès se mettait droit devant elle.

Agnès (légèrement impatiente) : Très bien, regarde mon visage, il n’a plus la patience de jouer à ce jeu !

D’un coup, Agnès projeta Lippoutou sur les appareils électroniques de façon assez forte, mais sans la toucher d’un doigt, ce qui endommagea les appareils électroniques de la pièce lesquelles étaient essentiels pour leurs travaux. Elle prit les échantillons et les résultats avant de les mettre dans le brûleur à gaz. Lippoutou aurait bien voulu l’en empêcher, mais elle était sous le choc de voir la dame changée radicalement d’attitude.

Lippoutou (triste et d’une voix basse) : Lippou....

Agnès (d’un ton sec) : Arrête de pleurer, tu n’as pas encore vu la souffrance qui t’attend dans le futur et là tu vas savoir ce que sangloter veut dire puisque je l’ai vécu moi-même. Avec tout ce que j’ai vécu dans ma vie et le temps que j’ai passé à rassembler et à bâtir..., je te fais la promesse que le monde tel que tu le connais sera chose du passé.

Le pokémon se releva avec douleur pour l’arrêter, car elle ne pouvait pas imaginer utiliser ses pouvoirs contre elle puisqu’elle l’aimait, elle toucha alors son épaule tendrement.

Agnès (d’un ton encore plus sec) : Ne pense pas m’attendrir ! Et si tu oses te permettre de nouveau de me compliquer la vie par ta bonté, je peux te garantir que tu seras la prochaine à nous quitter, ce qui serait dommage, car tu n’y es pour rien dans cette histoire horrible !

Au spectacle, à la table où tous étaient réunis, les festivités battaient son plein.

Paul (étouffé de rire) : Je n’en pouvais plus de l’entendre parler du chat !

Maryse : Le numéro de danse était magnifique aussi !

Kevin : Ouais et ses… !

Christian : Cheveux, tu voulais dire cheveux.

Richard (impatient) : On perd notre temps ici.

Malgré ce commentaire, Sébastien commençait à comprendre ce que Kevin voulait dire.

Sébastien : Je crois comprendre........

Kevin : T'as raison, c’était probablement des faux.

Agnès (stupéfaite) : Comment peux-tu dire une chose pareille !

Kevin allait répliquer, mais quelqu’un se présenta à eux.

Grégoire : Bonjour tout le monde, je me présente. Je m’appelle Grégoire, mais tout le monde me surnomme Greg.

La troupe se demandait qui était cet individu quand la matriarche du groupe l’interpella.

Agnès : On s’est vu hier, n’est-ce pas ?

Grégoire : Exactement, je suis un nouvel employé de l’hôtel et j’ai pour mission que tout soit parfait à votre table.

Richard : Vous avez vu l’heure, il est tard.

Kevin (blagueur) : Il a été impuissant comme moi.

Grégoire : Veuillez m’excuser, ce soir, j’ai été débordé.

Agnès (très compatissante envers lui) : Vous êtes pardonné, mon chéri.

Richard : Allez me chercher l’une de vos meilleures bières, mais seulement si vous en êtes capable.

Grégoire : Très bien, veuillez m’excuser. Je reviens très bientôt.

Il se retourna, mais avec un sourie mesquin à la bouche avant de disparaître dans l’immense foule lorsqu’un coup de vent froid toucha son visage.

Sébastien : Il était bizarre.

Agnès : Mais voyons, il était très charmant.

Le temps passait, mais le serveur ne revient jamais les voir à la table. La soirée approchait de la fin, quand un cri strident survenu quelque part dans la foule. Une femme s’était mise à pleurer et à crier.

Valence (affolée) : Je viens de voir mon mari être aspiré par le sol !

Tout le monde ses mis à paniquer, car il restait, sur le sol, une main à moitié calcinée avec une bague à son doigt. C’était la main de Carlos, le président d’une grande entreprise pétrolière. En quelques minutes, on pouvait apercevoir dans le ciel un petit nombre d’hélicoptères qui fuyaient l’île et à leur bord plusieurs grands dirigeants de domaines différents qui se mettaient à l’abri.

Maryse (paniquée) : On doit tous retourner à la base le plus vite possible ! Laissez faire la sécurité dans un cas pareil.

Dans la panique, Sébastien pointa du doigt et demanda d’une voix forte à Kevin de regarder par terre.

Kevin : Ce n’est pas possible, c’est exactement les mêmes cendres que j’ai trouvées dans le coin, ce matin. Regarde, Christian.

Christian : Oui, oui, oui, mais allons vite à la base !

Dans le salon, tous étaient désemparés de la situation, mais malgré cet évènement, Maryse, Christian, Sébastien, Kevin et même Paul se sont dirigés dans la salle d’analyse où ils regroupaient les échantillons et les équipements. À leur grande surprise, il vit Lippoutou au milieu de la pièce qui tentait de nettoyer la salle laquelle était dans un désordre inhabituel. Agnès se rapprocha pour voir de plus près.

Agnès : Tout ce désordre, qu’avez-vous fait ?

Lippoutou s’avança vers elle et lança aussitôt une attaque torgnole sur elle avant de se faire remettre dans sa pokéball par Christian.

Christian (peiné) : Ça faisait tellement longtemps que je ne l’avais pas mis dans sa pokéball, je me sens mal.

Maryse (confuse) : J’ignore ce qui se passe ici à l'heure actuelle, mais c’est tout sauf normal.

Agnès (d’un teint livide) : Excusez-moi.

Kevin (en colère) : Les échantillons et les résultats, tout a disparu ! Christian, fait sortir Lippoutou de sa pokéball !

Christian (perdu) : Non, ça ne peut pas être elle la responsable.

Kevin : Très bien !

Christian : Parfait !

Avec les évènements de la soirée et maintenant ça, le groupe était à bout de nerf et chacun parti dans son propre coin pour le reste de la soirée et de la nuit qui s’annonçait très mouvementé à l’extérieur de la station. En effet, il pleuvait de plus en plus fort comme si une tempête approchait de l’île.

Richard (consterné) : J’étais la cible de ce triste évènement.

Au même moment, dans une embarcation qui flottait sur l’océan.

L’inconnu (enragé) : Pourquoi là t'il bousculé ? Se rend-il compte que je faisais ça pour lui et pour ceux qu’il aime.
Un moment de silence survenu, puis.

L’inconnu : Elle est ici !
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