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Lecture d'un chapitre
| Lecture du chapitre 5 | |
|---|---|
| Nom de l'œuvre : Tout est possible [Héros2016] | Nom du chapitre : Chapitre 5/9 |
| Écrit par FIRSTCLASS | Chapitre publié le : 14/8/2016 à 04:33 |
| Œuvre lue 6147 fois | Dernière édition le : 14/8/2016 à 04:33 |
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| Au matin, la pluie avait disparu aussi vite qu’elle était apparue. Christian, Maryse, Agnès, Kevin et Lippoutou eurent une très longue conversation. Lippoutou expliquait du mieux qu’elle pouvait les évènements d’hier soir, mais le problème était qu’Agnès ne comprenait pas ses dires puisqu’elle n’avait aucun souvenir de tout cela. Au regard de Lippoutou lorsqu’elle regardait Agnès, on voyait aussi qu’elle ne comprenait pas, puisqu’elle reconnaissait parfaitement le comportement de la dame qui était très différent de celui d’hier soir. Cependant, ce qui questionna surtout le groupe dans l’histoire était le supposé pouvoir d’Agnès, lequel était impossible, selon eux. Maryse : Mais comment ? Kevin : Par le désordre d’hier, il faut en effet avoir des pouvoirs psychiques comme ceux d’un pokémon psy, mais le transfert du pouvoir ou des pouvoirs d’un Pokémon à un humain n’a jamais été essayer, du moins ce qu’on en sait. Agnès : J’ignore ce qui s’est passé, mais je peux affirmer que ce n’était pas moi que tu as vu, car je n’ai jamais eu de robe de couleur noir et que quand je bouge les bras, il ne se passe absolument rien, même si ce serait fantastique du point de vue de la science. Puis, Richard apparu avec un grand tableau à la main. Il était enflammé, on pouvait voir dans sa voix son excitation à exposer ce qu’il savait, ce qui était hors de son habitude puisqu’il était toujours très sérieux lorsqu’il s’exprimait. Richard : La nuit dernière, je n’ai pas réussi à trouver le sommeil, car je crois avoir une partie de la réponse à tous les évènement d’hier ! Christian (estomaqué de le voir comme ça) : Allez, dit-le nous. Richard : Hier soir, je pense que la victime aurait dû être moi. Kevin : Mais qu’est-ce que tu nous raconte là . Richard : Laissez-moi parler, ne m’interrompez pas s’il vous plaît. Lors de la fête, à un kiosque où l’on servait de la boisson, il y avait 2 fils d’attente pour ne pas entraver la circulation avec toute cette foule. J’étais en dernier dans l’une d’elles, quand Carlos se mit directement devant moi, et ce, d’une façon totalement irrespectueuse pour être derrière sa femme. Donc, je pense que s’il ne m’avait pas bousculé, j’y serais passer. Maryse (l’interrompant) : Il s’est passé quoi ! Richard : De ce que j’ai vu et c’était horrible, croyez-moi, on aurait et je ne peux le dire autrement qu’une minuscule éruption aurait eu lieu juste sous ses pieds, mais d’une vitesse incroyable, car lorsque j’ai cligné des yeux tout était terminé ne restant que la main de cet homme et des cendres volcaniques. Agnès (très curieuse d’entendre ça) : Comment pouvez dire cela ? Richard : Ces là que j’entre dans la fiction. Je pense que quelque chose affecterait le déroulement normal de l’arrivée du magma depuis le manteau terrestre vers la chambre magmatique ou bien quelque chose affecterait le dégazage du magma se trouvant dans la chambre magmatique provoquant ainsi des éruptions volcaniques complètement imprévisibles, mais d’une autre manière, complètement calculé aussi. Agnès : C’est ce qu’on voulait vous dire hier, avant la soirée. Nos instruments ont fini par trouver la localisation de la chambre magmatique. Cependant...... Lippoutou : Lippou lippou lippou lippoutou, lippoutou lippou ! Le pokemon essayait de faire comprendre quelque chose à Kevin. Kevin : Tu essaies de me dire que l’échantillon recueilli était également de la cendre volcanique, mais aussi que cet échantillon contenait des particules de sang. Richard : J’espère que l'on comprend maintenant ce qui s’est passé avec cette fille. Elle s’est fait complètement carbonisé par la propulsion de magma à la surface, mais tellement vite qu’il reste encore des particules de son sang dans la cendre, ce qui m’indique que ces deux évènements ne sont pas de causes naturelles, car c'est par ce volcan que devrait avoir lieu l’éruption et dont la lave s’échappera et non à des endroits totalement illogiques. Puis il ne peut pas se former deux cheminées dans une même journée et découlant de la même chambre magmatique, et ce, à quelques mètres de l’autre. C’est juste impossible. Christian : Et nos instruments, pourquoi ne l’on t-il pas trouvé avant ? Richard : Je n’en ai pas la moindre idée. Christian : Et pourquoi ces éruptions visaient toi et cette fille ? Richard : Ceci reste un mystère pour moi aussi, mais le plus impressionnant est qu’elle a duré moins de deux secondes. Paul : Quelqu’un a vu mon cigare ? C’est sur cette conclusion que prit fin la discussion. Quelque instant après, Christian, Sébastien, Maryse et Kevin prirent la route laquelle menait au complexe hôtelier pour voir ce qu’il se passait de nouveau. À leur arrivée, une armée d’agents Jennie était là pour faire enquête. Le devant de la scène était passé au peigne fin par les agentes policières à la recherche d’indices et d’autres qui étaient en train d’interroger le plus grand nombre de témoins possibles sur l’île. Jennie : Qui êtes-vous ? Kevin : Je m’appelle Kevin, un brillant scientifique. Si vous avez des questions, je suis là pour vous servir ! Sébastien : Il a vraiment dit ça. Maryse : Malheureusement …. Christian : Nous travaillons sur cette île depuis longtemps en temps que volcanologue. Jennie : Dites-moi ce qui s’est passé hier, lors de la fête ? Christian commença à expliquer ce qu’il savait, mais aussi la théorie de Richard vis-à -vis ces évènements, ce qui offusqua l’agent Jennie qui pensait qu’ils riaient de sa tête. Maryse eu bien beau dire que c’était la vérité, mais rien n’a faire pour eux, l’agente pensait qu’on riait d’elle. Jennie : Très bien, j’en ai assez entendu. De toute façon, on a presque terminé notre enquête. Sébastien : Alors, quelle est votre conclusion ? Jennie : Nous avons à faire à des personnes qui avaient beaucoup d’argents et qui avaient consommé une quantité importante d’alcools, hier soir. Puis, la femme de la supposément victime serait en réalité sa cinquième femme. Je pense donc que ce monsieur a simplement décidé de partir de l’île sans sa femme connaissant leur rapport conflictuel décrit dans les journaux et que celle-ci a probablement imaginé tout cela, car c’est impossible de dire de telles choses sans avoir pris d'alcool. Maryse : Mais la main ? Jennie : Nous n’avons retrouvé aucun membre. Maryse : Il doit cependant être venu en hélicoptère. Celui-ci doit surement être encore ici. Jennie : Non, ils faisaient une croisière et un bateau a justement pris la direction de Nénucrique, hier soir, le lieu de leur résidence, avant que la tempête frappe l’île. Veuillez m’excuser. La troupe ne savait plus quoi dire, car l’agente défendait ses dires avec aplomb, et eux, avec une théorie totalement impensable. Ils retournèrent donc de leur côté pour faire enquête. |
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