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Lecture d'un chapitre



Lecture du chapitre 6
Nom de l'œuvre : Tout est possible [Héros2016] Nom du chapitre : Chapitre 6/9
Écrit par FIRSTCLASS Chapitre publié le : 14/8/2016 à 04:37
Œuvre lue 6145 fois Dernière édition le : 14/8/2016 à 04:37
Au même moment, à travers les routes au dos de son galopa, au loin, l’homme mystérieux arriva devant une gigantesque structure vitrée. À son sommet, on pouvait voir de nombreuses antennes installées lesquelles servaient de relais de communication entre les satellites et l’observatoire.

L’inconnu (épuisé) : Je n’ai plus la force de faire tout ce chemin.

Il prit une pause avant de continuer, car il était essoufflé.

L’inconnu : Je me trouve donc devant le lieu dont ma collègue, la traitresse, a choisi enfin de sauver le monde. Tout le temps qu’on a travaillé ensemble en sachant très bien que chaque matin, lorsque nous arrivions au laboratoire, le but de notre invention servirait à ceci. Je n’arrive plus à la comprendre.

L’inconnu savait que les changements brusques de température survenus lors de la soirée étaient à cause d’elle. D’où il était situé, il pouvait voir un très grand nombre d’employés qui sortaient et entraient de la station climatique, mais aussi de nombreux Pokémons qui travaillait là également pour facilité, selon lui, le travail de ces personnes.

L’inconnu : Elle n’est pas en train de faire ce que je pense !

Il emboita donc le pas en direction de la station climatique, qui était auparavant une station météorologique, pour trouver celle qu’il recherchait, bien évidement en remettant son pokémon dans sa pokéball avant, mais en quelques minutes, il était impossible de l’apercevoir comme s’il avait pris l’apparence de quelqu’un d’autre. À l’intérieur du centre, il demanda à la réceptionniste de dire à Saphyrir qu’il était arrivé. La réceptionniste aurait bien voulu lui répondre sauf qu’il continua son chemin avant de disparaître de nouveau.

Du 18e étage, à travers une fenêtre donnant une vision large de toutes les personnes qui entrent et sortent de la station, une femme observa ce qui se passait au rez-de-chaussée.

Saphyrir (alerte) : Il est maintenant ici.

Quelqu’un instant après, elle sentit la présence de quelqu’un derrière son dos. Elle savait pertinemment qui cela pouvait être.

Saphyrir (ravie) : Je t’attendais après ma petite apparition lors de la fête.

L’inconnu (agressif) : Tu oses me faire un coup après tout ce qu’on a vécu ?

Saphyrir (d’un ton franc) : Oui, car j’ai remarqué que ton plan, lequel était le nôtre à la base, approchait malheureusement de sa fin.

L’inconnu (furieux) : Tu m’observes de cet endroit depuis longtemps ?

Saphyrir : Seulement depuis quelque temps et ce n’était pas difficile puisque tu nous avais parfaitement décrit l’île dans laquelle tu comptais t’installer. Puis, comme tu le sais et c’est la raison du pourquoi tu te trouves devant moi, cet endroit n’est pas étranger à mes ancêtres et qu’il s’est avéré être parfait pour observer les changements brusques de température survenant nul s’est où sur Terre et d’y remédier le plus possible, mais aussi pour te trouver, car tes expériences affectent la température de l’eau.

L’inconnu : Que veux-tu ?

Saphyrir (désolée) : Te dire que nous faisions une erreur monumentale en élaborant ce plan, ce pour quoi je fais tout en mon pouvoir, en ce moment, pour changer le futur tel que nous le connaissons.

L’inconnu (mêlé) : Explique-moi ?

Saphyrir : Après ton départ, nous avions attendu longtemps avant de m’envoyer ici, car nous voulions d’abord voir si l’humanité arrivera un jour à trouver une solution.

L’inconnu : Tu es donc en train de me dire que l’avenir se portera mieux ?

Saphyrir : En effet, le futur trouvera le moyen de se porter mieux.

L’inconnu (révolté) : Impossible !

Saphyrir : Je sais ce que tu as subi, mais c’est possible et cela se produira à notre siècle.

L’inconnu : Je ne te crois pas. L’homme a toujours voulu faire le bien par ses actions, mais le résultat est qu’il a sous ses pieds le corps de ceux qu’il voulait aider. Plus encore, il est encore le responsable de cette…

La femme voyait que l’homme devenait de plus en plus agressif, mais elle n’éprouvait pas la moindre peur face à lui.

Saphyrir : J’avais prévu ton comportement et si je voulais que tu viennes ici, c’était pour t’éloigner de ce volcan.

La femme eut un petit sourire.

Saphyrir : J’aimerais te présenter quelqu’un.

Une porte s’ouvrit, non celle que l’inconnu avait prise pour être face à Saphyrir, mais une porte qui était seulement accessible de l’intérieur de son bureau. L’inconnu vit un vieil homme tenant dans ses mains une sorte d’appareil électronique et dont il ne pouvait pas dire le nom.

Saphyrir : Ne pense pas utiliser l’une de tes facultés sur lui, car les facultés que tu t’es données, avant de reculer dans le temps, seront inefficaces sur lui.

L’inconnu : Comment ça ?

Saphyrir : Disons que la science a encore mis en doute le sens du mot « impossible ».

L’inconnu (désolé) : Au point de ne plus savoir qui nous sommes vraiment.

La femme était légèrement abattue d’entendre ce que l’homme venait de dire, mais elle avait toujours le même but à l’esprit.

Saphyrir : Je te présente l’historien et dans ses mains se trouve être les moindres détails, en photos, en vidéos et en textes, de l’avenir de la planète si rien ne change maintenant.

L’inconnu (peu optimiste) : Très intéressant, mais ça ne servira à rien, crois-moi.

Saphyrir (confiante) : Non, tu te trompes et nous comptons montrer ceci au grand public lors du grand rassemblement annuel d’acteurs importants de la société à Pacifiville, dont l’un des thèmes abordés sera la pollution et le respect d’autrui, pour démontrer que nous devons impérativement changer la manière dont nous traitons la nature et la façon dont nous nous comportons les uns envers les autres.

L’inconnu (insensible) : Je suis navré pour toi que tu puisses encore t’imaginer changer la nature humaine, mais je me fais le devoir de ne plus jamais être le témoin d’une telle hécatombe.

Saphyrir (d’une voix allégresse) : Et moi de t’apprendre que ce rassemblement a lieu demain matin et lorsqu’ils verront ceci, le futur sera automatiquement modifié et ainsi toi, si tu existes encore bien évidemment. Tu n’auras donc jamais le temps de réaliser ton plan.

Aussitôt dit, l’homme fit un mouvement de rotation avec ses mains pour former une sphère mauve qu’il projeta contre l’historien afin de prendre ce qu’il avait entre les mains, mais à sa grande surprise, rien ne se produisit.

L’inconnu (avec étonnement) : Vous y êtes enfin parvenue, mais à quel prix.

La discussion s’interrompu lorsque l’alarme s’enclencha laissant apparaître derrière l’homme sans nom, un ordre de machopeurs habillés en agent de sécurité pour le guider vers l’extérieur.

L’inconnu (indigné) : Comment peux tu de servir d’eux pour arriver à tes fins !

Devant lui, il voyait sa collègue prendre le bras de l’historien et comprit ce qu’elle comptait faire. Il s’empressa de se transformer en machopeur pour avoir la force de se défaire d’eux et d’attraper à temps l’épaule de sa collègue, mais celle-ci transforma son poing gauche en glace et lui assena un solide coup de poing dans le ventre. La femme se sentit mal, mais elle n’avait pas d’autre solution.

Saphyrir (en disparaissant) : Je t’en pris, écoute ton cœur. Je refuse de te faire plus mal, mais nous devons être les plus responsables dans cette histoire.

L’inconnu était maintenant seul dans la pièce entourée de pokémons.

L’inconnu (se sentant trahi) : Très bien, sauf qu’avec le temps, j’ai eu la chance de croiser un bon nombre de pokémons dont un en particulier que tu rencontreras très bientôt.
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