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Lecture du chapitre 7 | |
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Nom de l'œuvre : Tout est possible [Héros2016] | Nom du chapitre : Chapitre 7/9 |
Écrit par FIRSTCLASS | Chapitre publié le : 14/8/2016 à 04:42 |
Œuvre lue 6140 fois | Dernière édition le : 14/8/2016 à 04:42 |
Dans la soirée, plusieurs membres de l’équipe de volcanologues cherchaient toujours à comprendre ce qui savait passer avec l’homme lors de la fête, mais aussi l’histoire de Lippoutou en ce qui concerne le comportement d’Agnès et dont celle-ci serait l’unique responsable de ces dommages matériels dans le labo et de la perte des données récemment obtenues, selon elle. Quant à eux, Richard et Kevin étaient partis au sommet du volcan pour tenter d’expliquer l’inexplicable, car il faudrait attendre que les réparations se fassent dans le laboratoire, ce qui demanderait au moins une semaine, le temps que l’équipe de réparation arrive de Lavandia. Par contre, de leur côté, Sébastien et Paul étaient partis à l’hôtel se détendre pour la nuit, car l’équipe avait ordonné à Sébastien de prendre ses distances avec cette histoire et avait obligé Paul d'y aller avec lui pour ne pas qu’il soit seul, ce qu’il accepta, car il était fatigué. Puis, d’autres qui étaient allés à la plage pour mettre au clair leur pensée étaient revenus à la base, mais sans toujours rien comprendre de ce qui s’était passé. Agnès (dérouté) : On travail ici depuis longtemps, qu’avons-nous raté dans nos recherches ? Christian : La science n’a peut-être pas la réponse à tout finalement. Tous réfléchirent quelques minutes à ce qu’avait dit Christian. Maryse (peu optimiste) : J’y pense et vous allez rire, mais je crois que quelqu’un se serait installé sous terre et s’amuse à me rendre folle. Je suis sûr que certaines personnes seraient assez folles pour faire cela. Agnès (aimable) : Croyez-moi, une personne ne se serait pas installée au-dessus de la chambre magmatique pour seulement vous rendre aliénée, il aurait probablement un but plus précis en tête pour faire une telle chose. Christian : Quelle imagination maman, ce soir. On pourrait presque croire que, par moment, vous changez de caractère. Agnès le regarda directement dans les yeux, avant de répondre. Agnès (légèrement confuse) : C’est le manque de résultat qui me fait parler comme ça. Maryse : Vous rendez-vous compte que nous sommes complètement perdues. La preuve, nous avions mis nos vêtements de travail pour aller à la plage, mais avec notre maillot de bain en dessous. Christian (timidement) : C’est dommage pour moi que je n’aille pas vu ça avec le soleil qui se couchait. Maryse (heureuse d’entendre ça de lui) : Christian, je ne croyais pas que vous me trouviez de votre goût. Je suis très surprise. Christian devenait quelque peu rouge dans le visage. Christian : J’ai dû trop bien cacher les sentiments que j’éprouve pour vous. Maryse : En réalité non, ces plutôt moi, vous n’avez pas remarqué que je prenais souvent votre défense face à cette bande de grands garçons. Christian : En effet, mais je pensais seulement que ça venait de ta grande gentillesse et de ta bienveillance envers moi. Agnès : Je suis tellement heureux pour vous. Je vois que votre amitié est si puissante qu’elle vous amène à vous rapprocher l’un de l’autre, si seulement elle l’était aussi pour les autres. Quelle tristesse ! Soudain, un bruit sonore se fit entendre de tous. Maryse : Je rêve ou c’est la première fois qu’on a de la visite ici. Agnès (enthousiaste) : Peut-être une surprise pour toi ? Maryse se dépêcha d’aller ouvrir la porte pour savoir qui cela pouvait être bien être. Johanne : Coucou, ma chérie, c’est maman ! Je suis tellement contente de te voir ! Hubert : Bien le bonjour, tu es surprise de nous voir, n’est-ce pas ? Maryse (contente) : Ça fait tellement longtemps que je vous ai vu. À vrai dire, depuis que je suis ici. Christian : Bienvenue ! Je suis très heureux de vous connaître. Agnès : Faites-les entrer voyons, ne les restez pas dehors par cette chaleur accablante. Tous étaient très heureux de se retrouver et de faire la rencontre de nouvelles personnes. Maryse : Pourquoi êtes-vous venu me voir aujourd’hui ? Hubert : On désirait te faire une surprise. Johanne : Ce qu’il ne te dit pas c’est qu’il a décidé en un instant de venir ici. J’ignore ce qui lui a pris, mais comme nous étions en congé, je me suis dit « pourquoi pas ! ». La discussion allait de bon train lorsque le père de Maryse posa une question qui jeta un court moment de silence dans le salon. Hubert (très curieux) : Alors, alors, avons-nous ici un petit couple ici ? Johanne (très heureuse) : Ma fille s’est fait enfin un copain ! Christian et Maryse se regardèrent un instant pour savoir qui allaient répondre à cette question si compliquée lorsqu’Agnès prit leur défense. Agnès : Arrêtez de les importuner, ils seront ce qu’ils auront choisi...... Par contre, j’aurais quelque chose à vous montrer dans ma chambre, quelque chose de très spécial. Tout le monde était surpris de cette nouvelle, surtout Christian et Maryse. Christian : Ça doit être une grande surprise, car elle ne nous laisse pas y pénétrer et encore moins pendant son absence. Sans trop se poser de question, ils suivirent Agnès jusque dans sa chambre pour voir la surprise. Une fois dans la pièce, tous se demandaient où était la surprise puisqu’ils ne voyaient rien. Agnès : Suivez-moi, c’est par ici ! Elle sortit de sa pokéball et demanda encore une fois à kadabra de déplacer le miroir et de les guider jusqu’au bas de ce passage. Tout le monde la suivit comme si c’était tout à fait normal de voir un trou très profond derrière un miroir. Durant la descente, aucune personne ne parlait comme s’ils étaient tous hypnotisés par une force mystérieuse. Leurs yeux regardaient bien de gauche à droite dans le tunnel pour comprendre ce qui était en train de se passer, mais ils gardèrent en tout temps le silence le plus complet, bien qu’il soit impossible d’omettre ce qu’ils voyaient devant eux. Rendus au bas du couloir sombre, ils mirent les pieds sur une longue paroi en acier et dont celle-ci faisait la largeur de la cheminée, c’est-à -dire qu’elle rejoignait les deux côtés du canal par lequel se fait la remontée du magma. Christian et Maryse ne croyaient pas leurs yeux de voir une telle invention installée dans la partie inférieure de la cheminée, mais aussi de voir cet être qui lévitait devant eux. ? : Avez-vous un mot à dire ? Christian (surpris) : Mais vous êtes......... Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que, lui, Agnès, Maryse et ses parents furent projetés dans une cage installée tout près de sa table de travail. ? (ennuyé) : Ce n’est pas moi qui ai voulu ceci, mais c’était la seule façon, selon lui, de garantir le succès du projet, puisque chacun d’entre vous a un lien avec lui et qu’on a plus de temps à perdre. Agnès (reprenant connaissance) : Mais qu’est-ce que je fais ici avec vous ? Christian : Comment vous êtes-vous rencontré ? ? : Je crois que nous étions faits pour nous rencontrer. L’être voulait un peu les apaiser avant de partir nul s’est où. ? : Ne craignez rien, par mes pouvoirs, j’ai mis un chant de force autour de la cage lequel vous protégera de la lave lorsqu’elle sera expulsée de la chambre magmatique et néantisera le monde. Maryse (stupéfaite) : Je n’y crois pas, j’avais raison de dire que quelqu’un s’était installé sous terre. ? : Cependant, le champ de force durera que quelques instants. Il partit quelques instants après, mais par un autre et plus large tunnel lequel remontait à la surface. Avant de repartir vers où l’océan le mènera, il se dirigea vers l’un des côtés du volcan où il arracha par son simple regard l’escalier qui était solidement incrusté dans la croute du volcan laquelle permettait à l’équipe de monter et de redescendre du volcan. Maryse (anxieuse) : J’espère que les autres vont remarquer notre absence. Christian (choqué) : Maman, explique-moi tout depuis le début ? Agnès : Je ne me rappelle plus notre première rencontre, mais je peux affirmer que, depuis ce moment, j’étais en quelque sorte sous son charme comme l’effet de l’attaque charme sur un pokémon. Christian : Que veux-tu dire exactement ? Agnès : Par moment, j’étais bien moi-même, c’est-à -dire que j’avais mes habitudes comme vous tous, mais une partie à l’intérieur de moi refusait obstinément de le voir souffrir et faisait tout ce qu’il pouvait pour le rendre heureux même si tout cela était anormal. Maryse : Le bien de qui ? Christian : Maman, dis-moi ce que tu as fait s’il te plaît ? Agnès (attristée) : J’ai trafiqué quelques fois nos instruments de recherche pour que personne ne puisse trouver cet endroit le temps que son invention accumule l’énergie nécessaire...... Christian (de manière très sérieuse) : Quoi d’autre, car j’ai l’intime conviction que ce n’est pas tout. Agnès : Lorsque vous croyiez me parler, ce n’était peut-être pas moi finalement, car j’ignore comment il fait, mais il a la même faculté qu’un métamorphe. Maryse : Il peut changer d’apparence ! Agnès : Exactement et c’est surement lui le responsable de l’attaque contre Lippoutou. Il a dû prendre mon apparence une fois que j’étais partie et ce n’est surement pas la seule fois. Christian : Comment pouvait-il le savoir chaque fois ? Agnès (désolé) : Notre base de recherche est remplie de minuscules caméras lesquelles filment le moindre de nos gestes, et ce, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Christian (très outragé) : J’ai besoin de réfléchir. Agnès (complètement navrée) : Je m’en veux tellement, tu n’as pas idée. |
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