Navigation : Passlord > FanFics |
---|
[FanFics]
[Mes FanFics]
[Rechercher]
[FAQ]
[Connectés]
[FanFics générales] [FanFics Pokémon] |
Lecture du chapitre 1 | |
---|---|
Nom de l'œuvre : Final Fantasy 9: Seulement le destin (Partie 1) | Nom du chapitre : Le vol |
Écrit par Mytitoune | Chapitre publié le : 18/11/2005 à 18:33 |
Œuvre lue 18596 fois | Dernière édition le : 9/4/2006 à 21:16 |
Tout d'abord merci à tous ceux qui prendront le temps de lire ma fic Final Fantasy. Je serais ravie d'avoir vos avis par Mp pour me dire ce que vous en pensez, me donner des conseils, des avis,... Je suis ouverte à toutes suggestions ! Merci encore et j'éspère que cette histoire va vous apporter autant de plasir que j'en ai à l'écrire. Je tiens aussi à prévenir les lecteurs que je me donne le droit de modifier certains détails, caractères, et relations. En éspèrant que cela ne vous choquera pas. Bonne lecture. Dehors le ciel était d´un bleu éclatant. Aucun nuage ne venait troubler cette clarté. La chaleur en ce jour était presque insoutenable et dans les rues de Lindblum, d´ordinaire si animées, il n´y avait personne. Toutes les fenêtres étaient ouvertes dans l´espoir de capter une brise inexistante. Le château imposant qui surplombait la ville, imposé le respect et attiré tous les regards des nombreux touristes. La sérénité qui régnait dans la ville fut brutalement brisée par un jeune garçon de seize ans qui sortait précipitamment d´un pub aussitôt suivi par un barman visiblement enragé. Des éclats de voix retentirent. Une mère outragée sortit la tête de sa maisonnette et hurla aux perturbateurs de se taire, son bébé dormait. Le rire du garçon résonna dans l´étroite ruelle dans laquelle il s´était engouffré pour échappé à son poursuivant. Il continua à avancer gaiement, ravi des quelques Gils qu´il avait habilement dérobés. Son butin bien à l´abri au fond de sa poche, le petit voyou marcha en sifflotant songeant avec fierté au mauvais tour qu´il venait de jouer. Sa dextérité inégalable le sortait toujours des mauvais pas comme celui-ci. Il tourna à droite puis à gauche et pénétra dans un café théâtre. Une voix familière et amicale se fit entendre : - Djidane ! Alors quoi de neuf aujourd´hui ? Lança Bach d´une voix tonitruante. Djidane lui lança la petite bourse dans laquelle il avait placé les Gils volés. Bach le félicita brièvement et appela les autres voleurs de la bande des Tantalas. Cina, Frank, et Markus arrivèrent rapidement à l´appelle de leur chef. - Alors Djidane t´as trouvé quoi ? Demanda Markus - Juste 1 000 Gils ! Répondit le garçon avec dépit - T´as pas trouvé de filles ? C´est curieux venant de toi ? Gloussa Frank » Djidane fit une sorte de grimace et préféra ne rien répondre. Il avait une réputation de Don Juan qu´il avait bien mérité ! Djidane était un jeune garçon aux cheveux blonds et aux yeux bleus sombres. Son air enfantin et malicieux lui valait l´admiration des demoiselles. Il possédait en revanche une étrange queue animale. Il émanait de lui quelque chose d´effronté et un charisme envahissant qu´on devinait sans bien le comprendre. Ses cheveux en désordres dont quelques mèches retombaient sur son front, devant ses yeux, lui donnaient un air sauvage et inaccessible. La malice brillait au fond de ses prunelles. Et sous son air juvénile se cachait un être extrêmement vaillant. C´était un garçon de nature opiniâtre, sagace et effronté. Djidane écouta calmement la nouvelle mission qui leur était confiée. Cette fois, les Tantalas devait voler un objet d´art se trouvant dans le musée de la ville. Djidane, sûr de lui ne s´inquiétait pas outre mesure mais pour les autres c´était différent. Bach leurs laissa quartier libre pour le reste de l´après-midi. Le jeune garçon se rendit dans un magasin d´items et acheta quelques potions et Antidotes. Il paya les 350 Gils demandés et embrassa du regard la ville alentour. Les petites maisons au toit rouge, les chats étendus languissamment sur le rebord des fenêtres, des enfants se chamaillant... Il retourna au repère des Tantalas dans le quartier théâtral de la ville. Là , il s´affaira à aiguiser la lame déjà tranchante de sa dague. Frank rentra dans la pièce la mine fatiguée. - Hey Djid´, t´es au courant que la reine d´Alexandrie est ici ? - Nan… ça pose un problème ? Questionna le jeune garçon avec un froncement de sourcils. - Ben… pas vraiment. Seulement si on se fait prendre, on risque d´avoir plus de problèmes que si elle n´était pas là ! Affirma t´il - T´as pas à t´en faire pour ça ! On réussira, comme d´habitude ! Après tout, je serais là non ?! Lança Djidane joyeusement pour détendre son ami. Frank acquiesça mais ses traits restaient tendus. Il s´allongea sur le lit miteux qui était le sien lors de leurs séjours à Lindblum et ferma les yeux. Djidane soupira et plaça ses coudes derrière son crâne dans une posture désinvolte. Le jeune homme avait beau cherchait le sommeil, celui-ci semblait le fuir. Il ne dormit que trois heures cette nuit là , comme toujours lorsqu´une importante tâche leur était confiée par Bach. Cet objet qu´il devait dérober n´était autre que le diadème de la sixième reine de Lindblum, celui qu´elle portait lors des réunions importantes. Djidane ignorait qui avait demandé ce diadème à Bach mais il craignait que cette fois son chef n´eu visé trop haut. D´ordinaire le jeune voleur ce moquait de ce genre de détail, il effectuait la mission et rentrait comme si de rien n´était mais cette fois il avait un mauvais pressentiment et son intuition ne le trompait que rarement. Le jeune garçon fut éveillé par les cris de Bach qui perdait patience : - Djidane ! Mais bon sang qu´est ce que tu fabriques ? Tu te lèves oui ? ! On n´a pas toute la journée, le diadème doit être remis dans quatre heures ! Alors bouges-toi ! - Quoi ? Qu´est-ce qui se passe encore ? Questionna le garçon d´une voix toute ensommeillée - Lève-toi ! Hurla l´homme imposant Après une série de jurons, Djidane se résigna à se lever. Etouffant un bâillement, il s´étira. Il se prépara pour le dangereux larcin. Il savait que les gardes seraient nombreux et le système de sécurité difficile à contourner. Il salua au passage Rubis qui était venue les voir. La jeune femme sembla déçue du peu d´attention que lui porta Djidane. Le Tantalas sortit du repère des voleurs et cligna des yeux sous les rayons douloureux du soleil. L´étouffante chaleur qui régnait dans tout le continent n´avait pas diminué depuis la veille, ce qui fit pousser aux jeunes garçons de longs soupirs. Pas un souffle de vent ne venait troubler l´immobilité des arbres. Au loin, on entendait les piaillements joyeux d´un oiseau. Un chat errant s´approcha d´eux et les fixa longuement avant de prendre la fuite. Bach leur fit un rapide examen de la situation actuelle. Ce qui ne fit qu´accentuer la crainte des voleurs. Djidane et les autres exécutèrent à la perfection la première partie du plan. Ils pénétrèrent par effraction dans le bâtiment encore fermé aux touristes à cette heure. Avec l´agilité d´un félin, Djidane s´activait à éviter les nombreux et perfectionnés systèmes d´alarme. Il suivit un long couloir d´une blancheur éclatante dont les murs étaient ornés de portrait d´anciennes souveraines et souverains. Mais au bout du couloir, malgré la discrétion dont il faisait preuve, il fut repérer par un des gardiens. L´homme s´écria : - Intrus ! Intrus ! Vers la salle de … Djidane sauta sur l´homme et lui plaqua une main sur la bouche et sa dague sous la gorge. Le jeune garçon ne prononça pas un mot, mais ses gestes et regards suffisaient amplement pour faire comprendre au garde qu´il devait garder le silence s´il tenait à la vie. Des échos se firent entendre. Visiblement il cherchait la provenance du cri. Djidane jura entre ses dents. Ils étaient repérés ! Le Tantalas entendit des bruits de pas derrière lui, et se retourna vivement prêt à attaquer. Il leva les yeux au ciel en apercevant Markus essoufflé. L´arrivant baissa les yeux sur le gardien et hocha la tête en signe de compréhension. La situation n´était pas facile pour eux et le larcin s´avérait plus complexe encore qu´ils ne se l´étaient imaginés. Djidane assomma son prisonnier avec le manche de son arme et fit signe à son ami de le surveiller pendant qu´il accomplirait la deuxième partie du plan fomenté par Bach, la plus difficile. Markus acquiesça, visiblement inquiet. Le jeune voleur partit à pas feutré vers l´endroit où était entreposé l´objet de leur cambriolage. Le musée était un vrai labyrinthe mais c´est sans trop d´encombre qu´il arriva près du Diadème après avoir assommé trois autres gardiens. Il aperçut Frank qui eu l´air ravit de le voir. Djidane s´approcha de son compagnon mais soudain les traits de son ami se crispèrent et la terreur se peignit sur son visage. Avant que Djidane n´ait pût comprendre une douleur fulgurante lui traversa le crâne. Très vite, il sombra dans les ténèbres d´une profonde inconscience d´où seul lui parvint le cri effrayé de son ami. |
[ Chapitres : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 | Retour | Haut de page ] |