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Lecture d'un chapitre



Lecture du chapitre 1
Nom de l'œuvre : Chloé et l'allée des ombres Nom du chapitre : L'ignorance et l'amour
Écrit par Merope Chapitre publié le : 28/11/2005 à 23:27
Œuvre lue 3973 fois Dernière édition le : 28/11/2005 à 23:27
Un homme barbu aux longs cheveux acajou était installé sur une petite chaise face à un jeune garçon brun, maigre à la carnation blafarde. La salle où ils se trouvaient était la chambre de celui-ci qui était assis sur un lit de métal. Le jeune garçon se frictionnait les dextres avec avidité. Il portait une pitoyable tenue délavé qui n'arrangeait en rien ce sourire famélique qui le rendait si laid.

-Je ne suis pas quelqu'un d'exceptionnel, dit-il à l'homme barbue.

Enseignant, voici ce qu´était l´homme assis en devant lui dans un habit qui paraissait parfaitement démodée. Le front bas et ses mirettes couleur noisette semblaient observer le jeune garçon avec la plus haute estime. Sa bouche à la couleur naturellement vermillon était entrebâillée et son énorme abdomen commencé à être serré sur cette chaise sans pour autant lui faire sortir une jérémiade.

-Tu es un enchanteur, dit le maître.
-Montrez moi de la magie, ordonna le jeune garçon.
-Je te la montre avec joie, simplement tâche d´être davantage courtois la fois suivante à l'égard des gens.

L´homme barbu leva son petit sceptre qui était orné d´une tête de serpent en or massif. L´autre main tenait une baguette de pain qu´il gardait pour son repas. Il fixa ensuite l´armoire perpendiculairement à ses yeux et juste à l´instant ou il se préparait à lui lancer un sortilège, une jeune demoiselle pénétra en trombe dans la pièce. Elle ignora royalement les individus présents dans la salle et s´était incliné sous l´armoire avec un gros morceau de carotte fraîche sous la dextre.

-Eh! S'écria le jeune garçon.

Elle l´ignorait toujours, et examinait à présent le dessous de la chaise de l´homme barbu avec cependant une grande inutilité, car il faisait jour dans la chambre. Elle l´avait ignoré, lui Tom Cédric Broakle, lui le plus beau disciple de l´orphelinat. Le jeune garçon était orphelin comme la plus part des collégiens de l´établissement de Smelthang.

-Zoé, Zoé, je me demande bien ou a pu disparaître cette lapine, s'énerva et se désola la jeune fille.

Tom c´était brusquement retrouvé avec une charmante lapine naine à la fourrure rousse pâle et argentée. Il ne savait pas pourquoi, mais il se souvint très bien qu´il avait réclamé à mademoiselle Glue s´il pouvait avoir un lagomorphe nain et face à sa contradiction injuste, il avait essayé de voler celui d´un certain Edouard Bloost. Le lapin géant des Flandres terrorisé qui l´avait mordu s´était étrangement retrouvé suspendu à une poutre de la toiture. Tom s´en voulait terriblement de cette regrettable mésaventure.

-Elle est ici ta lapine.
-Oh ! Merci, beaucoup ! Moi c´est Chloé et toi ?
-Je ne le sais plus, dit Tom qui le savait parfaitement.
-Ah ! Bon ! Tu as été abandonné dans la rue et nous t'avons recueilli ici?
-Non, non, je suis né ici, ma maman est décédée ici, pff, qu'elle honteuse faiblesse d'y avoir cédé.
-Tu as donc un nom de baptême, s'exclama t-elle, à quoi avait t'elle cédée?
-La mort, lui répondit il.
-Tu lui en veux, mais tu l'affectionnes au fond de toi.
-Oui, répondit Tom avec une nuance de sanglot dans la voix.

Il était à présent beaucoup trop proche de la jeune fille qui s'était installée sur son lit avec sa lapine rongeant la carotte sur ses genoux. Sa longue chevelure rousse pâle entouré son faciès a cause du fait que sa tête était penchée, elle paraissait triste. Le jeune garçon ne pu s'empêcher alors que c'était sûrement le truc qu'il n'aurait même pas fait dans sa sépulture; comme si nous pouvions faire quelque chose quand nous sommes mort; de demander.

-Qu'es-ce qui ne va pas, au fait mon prénom c'est Tom et mon nom c'est Broakle, mais comme mon père porte les mêmes; je te propose de m'appeler...
-Tommy!
-Eh! Oui, c'est merveilleux.

Tom semblait pourtant trouver le surnom digne de la médaille du ridicule, pourtant bizarrement et il ne savait toujours pas pourquoi, avec cette fille c'était la chose la plus merveilleuse au monde. Comment pouvait-il ressentir de la tendresse pour elle, il n'en avait pas la moindre idée. Il se souvint uniquement qu'elle l'avait ignoré, et dialoguait actuellement comme si il avait était le plus ordinaire des garçons.


-Je devrais pendre ces paroles comme celles d´une simple amie, mais je n´arrive pas, je les sens plus fortes, pensa Tom.
-Je suis arrivée là la veille, c'était horrible! Ma mère n'est pas morte, c'est cette abominable psychiatre qui nous a séparée pour que je devienne plus adulte, mais je n'ai que seize ans, j'ai besoin d'elle et elle à besoin de moi. Elle est malade et mon paternel a disparu bizarrement dès qu'il a connu mon existence. Ma mère était comme hypnotisée par la psychanalyste, elle, elle était bizarre et gobé comme si c'était une bonne glace caramel les effroyables paroles... jadis, ma mère n'as en aucun cas était pareillement à cela..., elle me disait continuellement que seule la mort nous sépareraient.., si tu savais comme cette dernière me fait peur..., dit elle avec un haut-le-coeur.
-C'est horrible comme histoire, moi aussi j'ai obsessionnellement peur de la mort, dit il en la serrant dans ses bras, et il ajouta à son oreille, J'utiliserai tout les moyens pour la combattre, sauf ceux qui sont cruels.
-Oh ! Vraiment s´étonna la jeune fille.

Il voulut lâcher son accolade, mais ses mains paraissaient avoir s´être immergées dans de la cécotine. Les bras de la jeune fille entourèrent le jeune homme à leur tour, et il ne pu s'empêcher de s'approchait plus près de ses magnifiques yeux argentés. Juste à l´instant ou sans savoir pourquoi ses lèvres allaient se placer sur celle de la jeune fille, il fût arrêté, furieux et ne sachant pas pourquoi il l'était et surtout se demandant bien encore ce que cette fille avait de si spécial à ses yeux. Il se retourna vers l'homme barbu qu'il avait complètement oublié.


-Vous êtes un peu trop jeunes, pour faire ce que vous vous apprêtiez à faire, j'ai tout de même l'honneur de te dire qu'elle ira à Hegwing, l'école de magie avec toi.
-Pardon, dit-elle, plus par ce que venait de dire le professeur que par le fait d´être trop jeune selon lui pour embrasser.

L'homme barbu avait regardé les deux jeunes gens comme si il était aux premières loges d'un excellent film.

-Vous avez bien reçu une missive le jour de votre anniversaire, remémorez-vous.
-Par qu'elle méthode envoyez-vous vos message? L´interrogation lui parue stupide mais bonne à poser.
-Par corbeau ou par serpent, répondit l'homme.
-Je présume aussi que vous ne souhaitais pas vous faire remarquer par ceux qui n'ont aucuns pouvoirs, mais dans la ruelle où je résidais il y avait toujours une foule considérable de sans pouvoirs. Pour les non enchanteurs, voir un corbeau ou un serpent avec une lettre aurait fait la une du monde. Au fait, qui dirige les animaux ?
-Le CIA pour les corbeaux.
-La CIA, c´est une plaisanterie !
-Non, le CIA qui signifie communauté d´intégration d´aviculture.
-Et vous ne savez pas pour les serpents ?
- La Maaf
-Hein !
-La Ministérielle des affaires aux fourchelang. Alors dans ce cas je crois que c'est toi que Sukhàtai, non de non, bien sûr. Il a sans doute trouvé une bonne excuse pour ne pas venir le connaissant, mais heureusement que nous nous sommes rencontré, soupira t-il ; il ajouta face au regard outré de la jeune fille; Bien évidemment j'aurai voulu te rencontrer dans des meilleures circonstances, d'après ce que je sais, ta maman n'est pas hautement atteinte et elle peu se débrouiller comme il faut quand elle n'est pas fatigué pour toi, tu le sais... Je te prierai de les appelés les SPM, car s´ils n´ont pas de magie en eux, ils ont bien d´autres pouvoirs dit il.
-Oui, c'est pour cela que je ne suis pas contente d'être séparée de ma famille, les seules personnes que j'aime sans rien attendre en retour d'eux en font partie, et Tommy aussi, répondit-elle.

L'homme barbu acquiesça et Tom se mit à sourire, de son sourire avide, non seulement il l'aimait sans savoir pourquoi, mais en plus elle paraissait inquiéter l'homme barbu depuis ses derniers dires.

-Tu es magnifique quand tu souris, dit elle.
-Ah! Bon, dit-il.
Il était normalement tellement laid avec ce sourire qu'il avait prit pour habitude de s'en servir pour faire fuir les adopteurs. La fois ou il avait été le plus utile, c'était quand une dame âgée qui s'appelait Georgia voulait lui promettre de lui concocter ses bons petits plats qui d'après le plateau qu'elle tendait était de la purée moisie accommodée avec des cerises.

-Elle aime ton sourire qui pourtant te rend si hideux et elle t'aimait déjà auparavant, elle ne t'aime donc pas parce que tu es beau, parce que tu es intelligent ou parce que tu es orphelin mais pour toi même, pensa t-il, bien qu'il se demanda si Zoé n'avait pas quelque chose à y voir par la suite.
-Au fait, tu m'aimerais; il se demanda comment il avait pu prononcer un tel verbe; si je n'avais pas était celui qui avait retrouvé ta lapine?
-Oui, autant que maintenant, et celui qui l´aurait retrouvé n'aurait eu qu'un remerciement, je m'en serai servit par la suite, dit elle à son oreille.

Comment cette jeune fille qui semblait avoir le coeur le plus grand de l'univers pouvait-elle sans le moindre dégoût, prononcer de telles paroles, elle lui fit penser à un miroir dans lequel il se verrai avec le sexe opposé sans savoir pourquoi, alors qu´il était si gentil.

-Au fait, je suis Albi Dumouriez professeur de sortilèges, et Sukhàtai qui devait te chercher est professeur de potion, c'est aussi le directeur de..., non, finalement je préfère vous laisser la surprise de le découvrir vous même…
-Qu´es-ce professeur ? Demanda curieusement la jeune fille en voyant le petit spectre qu´il tenait dans sa main gauche.
-C´est un petit spectre de poche, ou une baguette magique ornée, c´est ce
que nous utilisons pour contràler notre magie.

Une fois qu´il était parti, Tom et Chloé continuèrent de se parler comme si
tout autres choses n´était que futilités. Quand le couvre feu signala à Chloé
qu´il fallait y aller…

-A demain, si nous nous retrouvons au chemin de Brocantes, moi je n´aime
pas faire des choses seules, je serrai donc avec Dumouriez.

Tom s´endormit avec des questions plein la tête, il n´arrivait pas à se
Convaincre et doutait de la jeune fille, il doutera encore plus à l´avenir dit
Une voix venant de nulle part qu´il n´écouta pas.
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