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Lecture d'un chapitre
| Lecture du chapitre 1 | |
|---|---|
| Nom de l'œuvre : Le destin du monde | Nom du chapitre : L'invasion du royaume du nord |
| Écrit par mazouji | Chapitre publié le : 25/12/2005 à 16:56 |
| Œuvre lue 4305 fois | Dernière édition le : 25/12/2005 à 16:56 |
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| Chapitre 1: L'invasion du royaume du nord La nuit se faisait sombre dans la forêt tout près du village Bablyd. Seul dans l'obscurité, des troupes du royaume de Dyprure avancent. Le silence dominait cette forêt mis à part le bruit du vent qui siffle dans les feuilles des arbres et les sabots des chevaux au galop qui frappent le sol. Le sol humide laissait jaillir de la boue lorsque les chevaux arrivaient dessus. Garde: Le village est tout proche, je le sens ! Cavalier2: Quelles sont les ordres du roi, Bled ? Bled: Piller la ville et la bruler. Cavalier3: N'oublie pas: il faut tuer les habitants ! Cavalier2: Oui Efir, mais nous sommes peu ! Cavalier4: Ce n'est pas grave Ulak, nous nous débrouillerons ! Cavalier5: Non, nous ne sommes pas peu Hury, le roi a dit que d'autres troupes viendrait par le Sud, l'Est et l'Ouest. Hury: Tu as sans doute raison Isru... Bled: Bon trève de bavardage, nous sortons de la forêt, il faut se faire discret à présent ! Cependant, dans le village nommé Bablyd, dans un monastère.... Prêtre: Ô Dieu Zhà k, y a-t-il un mauvais présage ces temps-ci ? Le prêtre attendit lorsque la statuette trembla et, fit apparaître une image: l'image des cavaliers. Prêtre: Oh non ! Ô dieu de la nature, fait que notre village soit épargné de ces bandits sans coeur qui viennent nous enlever tout nos biens les plus précieux ! La statuette trembla, devint rouge vif puis redevint normal. Prêtre: J'éspère que ça nous aideras... Bled: Tu n'avais pas tort Isru, je dois le reconnaitre. Voyez ces troupes, qui, comme nous, sont au nombre de cinq. Avez-vous pris une lampe ? Hury: Mais voyons Bled, à quoi cela nous servirait-il ? Bled: Que tu peux être idiot Hury, il me la faut pour envoyer un signal ! Alors quelqu'un l'a t-il pris ? Efir: Oui Bled, prends-la. (passe la lampe à Bled) Bled fit agiter la lampe quelques seconde puis la baissa. Un brussement de feuilles venant d'un buisson se fit entendre. Une créature jaunâtre en sortit. Elle se rua sur les cavaliers qui prirent la fuite. Bled: VITE !!!! DEPECHEZ-VOUS !!!!! Hury: Je dirais plutôt que ça nous sert à exciter les bêtes sauvages !!!!!! Bled: Tais-toi et fais avancer plus vite ton cheval ! Ulak: AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!! Efir: Ulak ! Bled, le chaval d'Ulak est bléssé ! On ne va pas l'abandonner comme ça ! Bled: Prends-le !! VITE !!!!! Efir: ULAK, prend ma main. Ulak prit la main à Efir et s'installa derrière lui. La bête sauvage approche en courant. Efir et Ulak: AAAAAAAAAAAAH ! Bled se retourna et vit Ulak et Efir par terre, le sang coulant. La bête continuait sa poursuite. Hury: Quelle idée d'agiter cette lampe, on devrait te nommer esclave du oi ou même bouffon ! Bled: TAIS-TOI !!!!!! Isru, passe devant, ton cheval va assez vite pour pévenir les autres. Isru, que fais-tu ? Isru ? Bled regarda derrière lui et, tout ce qu'il vit était la bête sauvage qui les poursuivait, Hury qui faisait de son mieux pour avancer plus vite et le cheval d'Isru. Mais, aucune trace d'Isru. Hury: Où est-il ? Ce crétin a abandonné son cheval ! Bled: Je dirais plutôt que la bête l'a avalé tout rond. Continuons, il faut le semer ! Mais la bête allait trop vite et mordit le bras à Bled qui tomba. La bête s'arrêta pour le manger mais Hury faisait de son mieux pour s'enfuir sans cette bête derrière lui. A son grand étonnement, la bête rugit derrière lui: elle n'était plus qu'à quelques mètres de lui. Hury: Prends ça, sale bête ! Hury sortit une grande épée et menaca la bête. Celle-ci se rua sur le pauvre cheval qui tomba au sol. Hury ne tomba pas mais resta tout de même face à la bête en brandissant son épée. La bête sauta sur Hury qui le frappa de son épée. La bête tomba au sol et eut du mal à se relever tellement la blessure était forte. Hury en profita pour s'échapper. Il arriva au village et paya une chambre à l'auberge. Lorsqu'il se réveilla le matin, il faisait chaud, très chaud m^me. Il regarda autour de lui: des flammes dansait. Il se rappela soudain que les cavaliers du roi du royaume de Dyprure devaient et avaient attaqués le village. L'aubergiste apparut alors dans la chambre. Aubergiste: Désolé, vous devez partir au plus vite, des cavaliers ont brulé le village ce matin à l'aube. Vous devez vous enfuir, ils sont en train de tuer les gens dehors !! Hury: Il faut faire quelque chose ! Vous savez, je suis moi-même un de ces cavalier dont vous parlez. Et mon devoir est de vous tuer, je me débrouillerais pour sortir d'ici vivant. Veuillez garder votre place, votre vie touche à sa fin ! Il prit son épée et transpersa le corps de l'aubergiste. Hury: Voila qui est fait, maintenant, il faut trouver une sortie... Ah voila !! Heureusement que leurs fenêtres sont longues et larges ! Il sortit par la fenêtre et rejoignit ses compagnons. Ensemble, ils tuèrent des gens, beaucoup de gens. Hury: Bon, il nous reste juste à attaquer le coin du nord, allons-y tous ensemble, ce sera plus facile ! Cavalier1: Mais si nous faisons des groupes, nous pourrons attaquer de tous côtés et garder les portes pour empecher les gens de sortir. Et nous sommes beaucoups, nous sommes vingt ! Hury: Non, Greb, nous sommes seize ! Greb: Comment ça seize ? Nous sommes vingt, quatre groupes de cinq ! Hury: Non, quatre de mes compagnons ont péris, nous sommes don seize ! Greb: Oh oui, sans doute... Hury: Bon ne perdons pas notre temps, allons-y avant qu'ils évacuent le village. C'est ainsi qu'ils partirent en direction du Nord, massacrer de nouvelles personnes... |
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