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Lecture d'un chapitre
| Lecture du chapitre 7 | |
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| Nom de l'œuvre : Voyage vers l'autre monde TomeI: La ville des anges | Nom du chapitre : Echapée nocturne |
| Écrit par Altariadu94 | Chapitre publié le : 1/3/2006 à 18:15 |
| Œuvre lue 20677 fois | Dernière édition le : 11/7/2006 à 13:40 |
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| Depuis q´Elypsés avait découvert les fantastiques pouvoirs du petit Ïron celle-ci commençait à lui apprendre les rudiments de la magie car, cette nuit là ils devaient tous être prêt pour le plan qu´ils avaient établi la veille au matin. Elypsés : Alors tu te concentre sur la chose sur laquelle tu veux agir et tu pense très fort à ce que tu veux en faire jusqu´à ce que cela t´emplisse le corps et l´esprit. Ïron était un excellent élève, mais apprendre en une journée à endormir un homme était un défis de taille, mais malgré tout Elypsés avait confiance car elle n´avait jamais vu une personne dont la magie pouvait par elle-même permettre à un enfant de soigner un reptile de la taille d´un Erepp, qui de plus était adulte. Cela elle ne l´avait jamais vu. Le petit sentait la magie le lier peu à peu à la plante qu´il fixait et comme la magicienne le lui avait dit, il devait se sentir imprégné de l´énergie de la plante et une fois que le lien était établi, il devait se sentir aspirer l´énergie vitale de la plante, la sentir dépérir, vidée de sa substance car, la sorcière lui avait dit que les spirito-mages avait leur magie basée dans les énergie et que pour endormir les gardes tours qui bloquait l´entrer du temple du souvenir, il fallait faire un transfert d´énergie que lui Ïron devait réaliser en leur inspirant le sommeil et en leur aspirant leur éveil. Pendant ce temps, trois rues, cinq boulevards et une place plus loin, Héréas et Erochk jouaient au carte en compagnie d´une grognonne, être mi-humaine mi-serpent dont les cheveux étaient faits de reptiles et dont le corps était parsemé d´écailles, sans jambes car une longue queue de vipère les remplaçait, des yeux jaune et brillant pouvant tuer d´un seul regard s´ils le voulaient et un venin des plus mortel qui soit. Et aussi avec un myrmak dont les six bras battait habilement le jeu et dont le cors filiforme à l´extrême pouvait aisément se contorsionner dans des positions impressionnantes. Le jeu consistait en un duel endiablé entre deux équipes qui chaque tour jouaient une carte pouvant peut être déstabiliser l´équipe adverse. Nos deux amis au bout de quelques heures d´apprentissage étaient devenus les maître de l´auberge, personne ne les battait et les duo se succédait devant eux et tous repartaient perdant et sans leur carte fétiche. Erochk : je joue la carte mer qui a pour effet d´emporter trois cartes chacun au cimetière ! Héréas : effet combiné je joue la carte foudre qui avec la mer vous fait jeter cinq cartes de la réserve et détruit tout les sort ennemis en jeu ! Grognonne : contre effet ! Je joue ma carte du néant qui non seulement annule vos effet mais vous fait jeter six cartes de la réserve ! Myrmak : double effet carte du sablier, le sort néant aspire chaque tour deux cartes réserve au cimetière ! Lapartie durait depuis longtemps et nos héros calaient pour la première fois. Et la partie se prolongeaient et l´équipe adverse redoublait d´originalité. Le soir approchait et Ïron faisait beaucoup de progrès, il parvenait presque au bout d´une longue concentration à faire somnoler le chien féroce de la maison d´en face. Elypsés avait confiance mais tout de même, la peur de mal faire et la nuit ne pourraient-elles pas faire tout échouer ? Tant pis la machine était lancée et Ïron était presque près. C´est alors qu´Héréas entra dans la pièce suivi par Erochk tous deux fous de joie car par une chance inouïe ils avaient finalement réussi à vaincre leurs adversaires qui avaient presque faillit les battre mais Héréas avait piocher la carte de la chance récupérer trois parties plus tôt et qui permettait entre autre de produire n´importe quel effet si l´on gagnait trois fois de suite aux dés. Et comble de surprise, c´est ce qui arriva et ce qui leur assura la victoire. Elypsés : Vous tombez bien, la nuit approche et Ïron est presque près. Bientôt, nous partirons et il nous faudra être très prudent et appliquer notre plan à la lettre ! Erochk : Et s´il y a un problème ? Héréas : On se disperse et on se retrouve une demi-heure plus tard devant l´auberge. Ïron : C´est bon ! J´arrive enfin à en dormir le chien ! Je ne sais pas comment est ce que l´on va faire contre les gardes mais je pense que si j´arrive à les assoupir, cela suffira. Elypsés : Je pense, mais ce n´est pas sûr que cela fonctionne et si jamais les patrouille de nuits mous retrouve, on est mort. Mais ne t´inquiète pas j´ai prévue des fiole de gaz soporifiques au cas où si l´un de nous se faisait encercler. Erochk :mais il faudra que l´on cache nos visage sinon ils nous retrouveront ! Elypsés :L´obscurité nous offre protection, allons y ! Sur ce ils se préparent en revêtant des vêtements sombres et peu visibles dans la nuits noire. C´est ainsi qu´ils sortent furtivement dans les rue sombres et habitées de bruits inquiétants, au coin d´une rue ils aperçurent un chat dont les yeux vert émeraude brillaient dans la nuit. Ils continuèrent leur chemin et le félin semblait les suivre de puis les toits aux tuiles assombries par la nuits et dont les bruits étaient accentués par le silence alentour. Un grincement plus strident que les autre fit sursauter la magicienne. Tout d´un coup, le groupe se fige car l´ombre d´une patrouille de garde se dessine au carrefour. Elypsés : Arcae et triflema asteundum oculis cum lecerta. . . . . . . . . Cette formule déclencha une suite d´événements étranges, on entendit un grand fracas, les gardes se retirèrent avec un grand empressement et on entendit même des cris de frayeur parmi eux mais la cause n´était pas le bruit, non car dans la rue d´en face, un liquide noir s´échappait d´un soupirail et un horrible son de respiration morte accompagnait ces flots ténébreux. Erochk : Ca ! C´est pas animal ! Héréas : qu´est-ce que c´est ? ! Elypsés : Je ne sais pas mais, en tout cas c´est pas vivant et on n´en perle dans aucun livre à ma connaissance. Ïron :Le fléau Héréas : si tu as raison, c´est mauvais signe ! Erochk : Oui, le fléau est une créature venue d´Eldengâr ! On raconte qu´elle est immortelle et que sa puissance pourrait terrasser une armée entière ! Ce que disait le guerrier était malheureusement bien en dessous de la réalité mais la bête dont il parlait n´était pas le fléau mais elle pouvait sans doutes semer rapidement la mort dans une ville aussi peuplée qu´Hersïr. L´alerte générale fut lancée et on voyait de toutes par des gens qui courait en tout sens jusqu´à un lieu de sureté. Elypsés : C´est le moment, profitons de la cohue pour nous glisser jusqu´au temple ! Ils se mirent à courir et dotant plus vite que la créature les poursuivait et à nouveau, une angoisse profonde et une peur terrassante s´insinua dans leur esprit et leur corps. Elypsés :C´est la créature qui nous inspire ces sentiments, Ïron repousse la tu le pe. . . . . Ils s´étaient arrêtés peu à peu de courir immobiliser par l´inspiration maléfique du Bakkân et Ïron luttait avec tout son esprit et sa concentration pour lui échapper... |
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