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Lecture d'un chapitre
| Lecture du chapitre 8 | |
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| Nom de l'œuvre : Recueil poêtique | Nom du chapitre : Les douleurs du poète |
| Écrit par Canar-O-Caramel | Chapitre publié le : 29/4/2006 à 19:01 |
| Œuvre lue 9970 fois | Dernière édition le : 19/7/2006 à 10:23 |
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| Le sang, Le sang, ce sang je ne le voyais plus pourtant, Il réapparaît alors que je t´ai trouvé, Pourquoi voir et savoir que ces êtres ont crevé, Tu apparais et leur leurs présages sortant, Et emportant à chaque foi un peu de soi, Qui est-ce qui a pour qui toute cette haine ? Pourtant au près d´eux on ne ressent que la peine. Pourquoi leurs ombres quand je suis tout près de toi ? Viennent-ils de tous ces lieux où les fleurs fanent ? En tes yeux je vois qu´on leur a brisé le crâne. Pourquoi finalement tout ce sang dans mes poèmes ? Mon seul espoir est en toi je me dis souvent, J´ai peur parfois de tes lèvres au reflet sanglant. Pourquoi rouges sont ces temps alors que je t´aime ? Ozimandias Enseignant des profondeurs, Il y a bien un vilain écrivain ici, C´est celui ou celle décelant les soutiens, Des images, pour des paroles et sens sans fin, Maigres gains gagnés des vrais écrivains, merci. Mais ne s´arrêtant pas là , bien loin de là , Montrant l´art du déracinage et l´enseignent, Ils n´essayent même pas la raison et règnent. Hé ! Nanti de la stupidité, tu es là , Vaque à tes destructions, tente de réfléchir, Et pour une fois fait ce que tu devrais faire, lire, Pour toi dur est de bâtir. Laisse l´invention, Aux autres. Qu´ils ne souffrent pas de tes actes, Ils grandiront eux, alors à tes actes vaque, Et donc plus jamais ne critique l´innovation. Ozimandias Fransissistes : « Vous autres fransissistes, plaie de la langue, Assemblage d´écrivains sans réels talents, Et pour cela lâchez votre haine en hurlant. » Un vrai critique n´insulte pas mais harangue. « Vous ne comprenez même pas le mot Français. Comment pourriez-vous, nous, l´enseigner. » Un critique dit ce qu´un auteur à dans son livre peigné, En aucun cas il ne doit interpréter, Seul un lecteur à le devoir de le faire. « Ne donnez que son avis, même s´il interfère, Aucune simagrée n´empêchera de le donner, Œuvre de liberté faite le s´il vous y plait. » Jamais vous ne devez mettre le feu, Si vous ne vous savez le faire mieux. Ozimandias Car plus que la raison vous y perdrez, votre âme. Si vous le vous savez faite-le ! Oubliez le reste. Car aucune critique, vraiment, ici nous reste. Apprenez aux autres une plume n´est pas lame. |
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