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Lecture du chapitre 8 | |
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Nom de l'œuvre : Voyage vers l'autre monde TomeI: La ville des anges | Nom du chapitre : Poursuite |
Écrit par Altariadu94 | Chapitre publié le : 11/7/2006 à 15:23 |
Œuvre lue 20670 fois | Dernière édition le : 11/7/2006 à 15:23 |
Ïron tentait tant bien que mal d'échapper à l'emprise maléfique de la créature, tou son esprit luttait, mais sa volonté était sappée par les pouvoirs du Bakkân, un rude combat était engager, esprit contre esprit, Bakkân contre apprenti spirito-mancien, la bataille était largement à l'avantage de son adversaire mais il devait résister, car ses amis qui l'avait toujours aidé et Elypsés qui croyait en lui depuis le début dépendaient de lui, et inconsciemment ils le soutenaient, car si il ne franchissait pas cette épreuve, si ardue était-elle, qu'adviendraient-il d'eux ? Non il ne fallait pas qu'il abandonne si vite, il ne devait pas renoncer, il devait le faire pour ses amis. Ce n'était pas très équitable, il n'était qu'un enfant après tout, mais il résistait, animé par le sentiment de dette envers ses compagnons, il leur devait la victoire et c'était pour eux qu'il luttait. Il n'avait pas utilisé toute ses ressources car il possédait la volonté qui anime tout les enfants, la volonté de grandir, d'apprendre et de s'épanouïr, il ne davait pas utilisé ces ressources trop vite, il attendrait le bon moment, un moment durant lequel son adversaire baisserait sa garde pendant un temps infime, mais cela lui suffirait, il saisirait sa chance, pour eux; cet instant viendrait bientôt, il le savait, pourquoi, il n'en savait rien, mais il était sûr que ça viendrait, l'espérance lui donnait quelques force de plus pour résister. Il ne faisait plus trop attention à ce qu'il se passait autour de lui, car il était trop occupé par la lutte contre son adversaire, le Bakkân, pourtant, il avait remarqué que la ville se remétait en mouvement, la population était sortit de sa torpeur, les forces de l'ordre èlfique s'étaient réorganisés et se dirigeaient sans doute dans leur direction, mais la milice ne l'inquiétait pas, au contraire, elle lui fournirait l'occasion qu'il attendait. Un battaillons d'èlfe apparut au coin de la rue, aussitôt, ce qu'Ïron avait prévu arriva sans attendre, le Bakkân avait sentit leur présence et abbatit de suite son terrible pouvoir sur les èlfes, le premier du peleton se figa avant même d'avoir put mettre la main sur ses flèches à pointe de cuivre, son regard se vida et il demeura immobile et inexpressif, le reste de ses équipiers subit bientôt le même sort, ils se figèrent les un après les autres, vidés de toute leur volonté, pendant ce temps, le Bakkân divisait sa puissance pour maintenir son emprise mental sur les elfes et ne s'interressa plus à lui pendant un court instant, mais cela lui suffit, d'un coup, Ïron rassembla dans son esprit toute la puissance et la force vitale qui lui restait et la progeta autour de lui, de ce fait, il coupa instantanément tout liens psychique du monstre, de ce fait, ses amis furent brusquement sortis de leur transe, Ïron les releva et ils s'enfuirent à toute allure, mais ses amis n'avaient pas été les seuls à profiter de la coupure mentale, les èlfes émèrgèrent eux aussi de la transe et une volée de flèche à pointe de cuivre fut tiré en direction du Bakkân, celui-ci esquiva la plupart des projectiles mas fut blessé au niveau de ce qui devait être sa 25eme côte, la créature gémit de douleur puis se tourna vers les èlfes qui frémirent à la vue de son regard emplit de cruauté et de fureur, le Bakkân profita de leur torpeur pour foncer sur eux en poussant un hurlement qui semblait venir d'outre-tombe. De longue griffe éfilées jaillirent de ses doigts contortionés par la rage, l'instant d'après, plusieurs tête d'èlfe aviaent quittées leur corps dans une effusion de sang et le petit groupe d'Ïron disparaîssait au premier tournant. Ce fut tout à coup la panique, ils croisaient des hordes d'èlfe en armes qui ne faisaient même pas attention à eux alors qu'il étaient suspect de la tète au pied, tout ce déploiement de force ne se dirigeaient que dans une seule direction, le lieux où se trouvait le Bakkân. Du haut de la forteresse au coeur de la citée, des anonciateur hurlaient dans leur porte-voix. "avis à la population, il y a une créature extrèmement dangereuse en ville, nous vous prions de bien vouloir rester enfermés chez vous jusqu'à la levée de l'alerte!" Il tenait à se donner de l'assurance, mais en fait sa voix trahissait une peur grandissante, malgré l'alerte, quelques badaux téméraires se risquanent aux fenêtre ou grimpait sur leur toit pour apprécier le massacre de la bète et par la même occasion du massacre de quelques un de leur semblables. Le petit groupe traversait la citée à vive allure, croisant de temps à autre des guerrier èlfes qui ne leur prétaient aucune attention, ou quelques malheureux qui leur réclamaient l'escorte, dans les deux cas ils passaient leur chemin sans ralentir le rythme, leur but se rapprochait, ils seraient bientôt au temple, Ïron leva les yeux vers un témoin du massacre particulièrement bruyant et fut horrifié par la furie sanguinaire qui lui sait dans ses yeux. Les rues qu'ils traversaient devenait de plus en plus vide, ce qui était bon signe, et une fois qu'il n'entendait plus que le bruit de leurs pas, Ïron risqua une question. Ïron: Que va-t'il advenir du Bakkân? Elypsés: Il est sans doute déjà mort, mais soit sûr qu'il à emporté bon nombre d'elfe avec lui dans la mort, mais ce n'est pas le moment de parler de ça, regarde on est arrivé! En effet, un édifice qui dépassait de quelque mètre les maisons alentours se dressait devant eux, le temple était magnifique, il était formé à l'avant de quelque colonnes de marbre avec à leur sommet des sculptures représentant des tètes de dieux ou de déesse elfiques, le toit était fait de tuiles bleues azur vernie qui brillaient sous la lune et des druides avait fait poussé des rosiers grimpant dont chaque branche se contortionnait en arabesques compliqués, pas de doute les elfes adorait autant leur dieux que le disait la rumeur. Erochk: Hého! L'endormi! Tu compte dormir à la belle étoile? Ïron: Non non, j'arrive! Il resta encore quelque seconde à contemplé l'oeuvre d'art puis, comme le guerrier l'appelait une seconde fois, il pénétra à son tour dans le temple... |
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