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Lecture d'un chapitre
| Lecture du chapitre 11 | |
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| Nom de l'œuvre : DONJONS & DRAGONS: Barlog, le maléfique | Nom du chapitre : Combat inégal, l'harmonica |
| Écrit par starsky_du04 | Chapitre publié le : 21/9/2006 à 19:35 |
| Œuvre lue 13296 fois | Dernière édition le : 21/9/2006 à 19:35 |
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| Les guerriers rentrèrent donc dans le donjon en poussant la porte pleine de sang grisâtre pas encore séché. Ils entrèrent dans un hall sombre et pas du tout éclairé. Trois portes au fond du couloir, et une minuscule pièce marque « Gardien » à leur gauche. Ils décidèrent d´aller dans la pièce du gardien. « Bonjour monsieur ! On voudrait quelques renseignements sur ce donjon. -Du calme les jeunes ! Une question à la fois, si je ne peux pas vous répondre c´est que la question est trop vague. -Qu´y a-t-il comme créature à part les slugs ? -Aucune, sauf le boss. -Et le boss, qu´est ce que c´est ? -… -Comment vaincre un slug ? -… -Y a-t-il un moyen de tuer un slug ? -Oui, un seul -Le connaissez vous ? -Oui jeune homme -Comment le tuer ? -Trop vague, jeune homme. Demandes-lui si il faut un objet particulier. -Y a-t-il un objet en particulier à utiliser pour les vaincre ? -Oui, un instrument de musique un peu spécial. Demandes lui quel chemin éviter pour ne pas tomber sur les slugs. -Y a-t-il un chemin à éviter pour ne pas croiser les slugs ? -Oui, éviter coûte que coûte la gauche. Au revoir, vous avez posé trop de questions. » Les amis sortirent de la pièce et se retrouvèrent dans le hall d´entrée. Narril se tournât vers Barlog, l´air réjouit. « Quelle déduction Comment t´as fait pour poser ces question précises qui nous intéressait ? -Ce n´est pas moi, c´est la voix… -Ah oui, cette voix mystérieuse… tant mieux. Nous avons donc le choix entre le chemin de droite et celui du centre. -Allons à droite. Un pressentiment» ajoutât-il en voyant l´air étonné de Narril. Ils prirent donc le chemin de droite. C´était un couloir tortueux plongé dans les ténèbres qui ne menait nulle part. Alors que Narril commençait à se moquer de lui et de ses `pressentiments´, Barlog décidât de revenir sur ses pas, de prendre une torche pour explorer plus profondément dans le couloir. Il choisit donc une torche qui brûlait vivement, mais au moment de la prendre, il s´aperçut qu´elle était bloquée. Il essayât de faire jouer la torche dans son reposoir pour la décoincer et l´enlever, quand un déclic retint son attention. Un bruit de pierre déplacée se fit entendre au fond du couloir, et Barlog s´y précipitât avant que le passage se referme. Les autres s´engouffrèrent à leur tour et se retrouvèrent dans une grande pièce abondamment éclairée. Un couloir partait vers leur gauche. Ils décidèrent donc de le suivre et débouchèrent à un croisement. Un couloir vers leur droite (donc vers le nord par rapport à l´entrée du donjon) et un couloir en face d´eux (donc vers la gauche par rapport à l´entrée du donjon). Ils prirent le couloir de droite et s´aperçurent qu´un éboulement leur bouchait le passage. Ils se résignèrent à aller vers la gauche, en ayant conscience de se que leur avait dit le vieux garde. Ils entrèrent dans une grande salle elle aussi très bien éclairée, remplie de calamar flottant. « -Des slugs ! Attention à ne pas les réveiller ! -Hé ! Il y a un coffre là bas ! J´y vais ! -Non Barlog ! Restons groupés ! Reste là Barlog ! BARLOG ! » Alertés par ce cri, les slugs se réveillèrent et commencèrent à sortir de l´engourdissement dans lequel ils étaient plongés depuis assez longtemps. Le temps qu´ils reprirent complètement meurs esprits, Barlog était parvenue jusqu´au coffre. Mais au moment où il allait l´ouvrir, un slug se jetât sur lui. Ayant à peine le temps de se retourner, il vit une ventouse en gros plan. Une deuxième se collât de l´autre côté de sa tête. Peu à peu, il fut complètement attrapé par le slug. Il sentit une fêlure se former sur le dessus du crâne, et son cerveau qui commençait à âtre aspiré. Paniqué, il essayât de crier pour avertir ses amis, mais plus aucun soins de sortait de sa bouche. Il essayât de former une épée, mais sa concentration fondait comme neige au soleil. Il se résignât donc à une mort affreuse et douloureuse, quand la voix résonnât à nouveau dans sa tête. « Ne meurs pas petit halfelin. Tu n´es pas encore parvenu au sommet de ton règne. Tu dois combattre. -Mais comment faire, il est trop fort, je ne suis pas assez puissant pour lutter ! - Utilises ta volonté pour parachever ton idée de base. -c'est-à -dire ? -Ouvres ce coffre et avises. » Rassemblant toute sa volonté, il avançât d´un pas, puis d´un autre. Se retrouvant devant le coffre, il ouvra péniblement son couvercle. Son cerveau commençait à sortir de son crâne maintenant complètement fendue sur le sommet. Le coffre ouvert, il découvrit un petit objet de fer avec pleins de trous alignés. « Mais à quoi ça peut servir ce truc là ! Ce n´est pas avec ça que je vais les blesser ! Souffle dedans, futur maître. Le mal qui te ronges seras anéantit. » Il soufflât donc dans l´harmonica, et s´aperçut que ses forces revenaient peu à peu. Prit d´une vigueur nouvelle, il prit son bâton enchanté et frappât à coups redoublés sur la créature qui maintenant le soulevait. Celle-ci lâchât prise dans un énorme bruit de succion. S´apercevant que ses amis étaient dans la même passe que lui, il entonnât le même air que celui joué précédemment. Quand ses amis furent libérés, il s´effondra, totalement épuisé, vidé de ses forces… |
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