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Lecture d'un chapitre



Lecture du chapitre 8
Nom de l'œuvre : Les enfants de Sparda T.1: Les Puissances Invisibles Nom du chapitre : Le réseau d'Hoenn
Écrit par Caedusparda Chapitre publié le : 31/12/2009 à 00:04
Œuvre lue 7488 fois Dernière édition le : 1/1/1970 à 01:00
Des cris assourdis vinrent troublés la nuit tranquille au dessus de la piste cyclable d´Hoenn. Des silhouettes rendus obscures par la nuit en malmenaient d´autres. Il y eut des bruits sourd de coups portés, de petites détonations et des cris de douleurs.
Régis et son groupe, composé de Pierre Brock, Juech Garrod, Martial Durrais et de l´agent Stephen Riccos, se mirent à couvert dans les hautes herbes, comme il y a trois jours. En dessous de la piste , des soldats, portant l´uniforme du Conseil d´Oblation, avaient capturé un groupe de Rocket. De là, Régis pouvait voir la tenue excentrique de l´une des personnes présentes.
- Un G-Man, dit le révérant Garrod, à coté de lui.
Le G-Man passa devant le groupe de Rocket prisonnier pour s´adresser à l´officier des soldats du Conseil. Régis n´arriva pas à distinguer son visage, mais il reconnut sa voix.
- Mais, Seigneur, dit le colonel Bastien Pectasov, ce sont des prisonniers de guerre ! Et en tant que tel, ils ont des droits !
Le colonel l´avait appelé « Seigneur Â». Hors ce titre était réservait aux sept Maître G-Man. La voix mielleuse du G-Man vrilla les oreilles de Régis.
- Certes, il en ont un : celui de mourir honorablement de mes mains.
- Seigneur, protesta Pectasov, ce ne sont que des prisonniers désarmés, les exécuter reviendrai à un meurtre !
- Disons une simple compensation pour les crimes qu´ils ont commis. Eux, si ils vous avez capturer, ils n´auraient pas eu tant de remords.
Il avait di « vous Â», comme si il était impensable que des Rocket puisse capturer un G-Man, pourtant...
- Sauf votre respect Monseigneur, je suis...
- Je pense que mon respect commence à vous échapper, Colonel, fit Psuhyox d´une voix légèrement menaçante. Contentez vous d´obéir quant on vous donne un ordre !
- Vous ne m´avez pas donné d´ordres Seigneur.
- C´est vrai. Eh bien en voici un : éloigner vos hommes des prisonniers. Il serait regrettable qu´ils aient à subir la violence de ma puissance quand j´achèverais les Rocket.
Plusieurs Rocket, ayant entendu le G-Man, gémirent et supplièrent de les épargner. Pectasov les regarda, le visage crispée. Il ne donna pas son ordre.
- L´exécution de prisonniers sans procès va à l´encontre des valeurs de la guerre. Le Conseil d´Oblation ne...
- Cette zone est en dehors de la juridiction du Conseil. Elle est désormais sous protectorat de l´Ordre G-Man. Et nous, nous exécutons les criminels de guerre. Maintenant obéissez. Je n´attendrais pas que vos hommes se poussent !
- Nous ne les avons même pas interrogé, Seigneur Prophète, tenta le colonel.
- Et pourquoi les interrogerions nous ?
- Ils avaient peut être une mission en cours. Peut être leur base n´est elle pas loin.
Le G-Man resta immobile, réfléchissant. Puis il reprit son ton mielleux.
- Très bien colonel. Mais je vais m´en chargé, ça ne sera pas long...
Régis entendit le colonel marmonné que la torture aussi était proscrite dans une guerre.
- Mais je ne pense pas que ce sera nécessaire colonel. Vous oubliez de qui je suis le G-Man.
Il s´approcha de l´un des Rocket meurtri, qui, quand il vu le visage aux yeux lumineux du Prophète de Victoire, gémit de peur. Le G-Man le regarda avec un sourire sadique, puis lui dit :
- Dit moi, Rocket, ce que vous faisiez ici ?
Comme Régis s´y était attendu, le Rocket ne dit rien. Apparemment, il craignait plus le courroux de son Boss que la mort au mains des G-Man. Les yeux du G-Man s´illuminèrent, et le Rocket fut pris de violentes convulsions. Il s´écroula à terre, poussant des cris assourdissants, mais plus de peur que de douleurs. Le G-Man resta immobile, son regard dans celui du Rocket qui sembler incapable de tourner les yeux. Au bout de trente secondes, le Rocket poussa de tels cris que Durrais dit à voix basse :
- Je peut l´avoir d´ici, Régis...
- Ne fais rien. On va se faire prendre !
- Et alors ? Je ne pense pas que les soldats du Conseil nous en voudrons beaucoup si nous tuons le G-Man. On est pas censé être dans le même camp ?
Riccos observait la scène, le visage blême. Peut être ce Rocket était il un de ses amis ?
- Ne fais rien, répéta Régis.
Ce fut le colonel Pectasov qui intervint.
- C´en ait assez Monseigneur !
Le G-Man détourna son regard de sa victime. Le Rocket cessa ses cris, et commença à pleurer. Les autres Rocket, autant que les soldats de Pectasov, était abasourdis.
- Ils étaient là pour tendre une embuscade à un groupe de Rebelles, dit Psuhyox. D´Après ce que j´ai saisi, ils venaient juste d´amener un prisonniers dans l´une de leurs bases.
- Qui ? demanda Pectasov, qui avait des amis parmi les Rebelles.
- Un Pokemon. Brillant apparemment.
- Lequel ?
- Ce n´est pas notre problème, fit le G-Man, qui reprit son ton dur. A présent, finissons en. Écarter vos hommes.
Le colonel hésita, jetant un regard au Rocket toujours prostré au sol qui pleurait, et à ses camarades, qui tremblait et demander grâce. Mais Régis savait ce qui allait ce passait. Il connaissait bien assez les G-Man pour le deviner. Si Pectasov n´obéissait pas, ses hommes aussi allaient être exécuter
- Colonel ?
- Écartez vous, soldats, dit il finalement d´une voix brisée.
Les hommes reculèrent, tandis que les Rocket, comprenant ce qui ce passait, tentèrent de s´enfuir. Mais ce fut peine perdu. Le G-Man tendit la main, et les Rocket hurlants furent soulever du sol par une force invisible. L´air sembla se compresser autour du G-Man. Un par un, les Rocket furent propulsé un dizaine de mètre plus haut, puis retombaient dans un bruits écoeurant d´os brisaient. Certains même ne moururent pas sur le coup, poussant de faible râles. Le G-Man continua, sourd au appels à la clémence et aux pleurs des Rocket, avec une expression de joie intense sur son visage. Il attendit que le Rocket qu´il venait de lançait s´écrase pour lancer l´autre, histoire que cet autre voyant bien ce qui l´attendait. Les hommes de Pectasov furent pétrifiés par ce spectacle. Certains allèrent vomirent dans la haies d´à coté. Régis, lui était bouleversé. Quant à Pectasov, il tremblait de rage.
- C´était là votre vision d´une mort honorable Seigneur Prophète ? Fit il quand le dernier Rocket ce fut brisé au sol.
- Une mort en vaut bien une autre, fit l´autre discrètement. Et puis ils n´ont pas souffert.
- Pas souffert hein ? Celui là vit encore ! Cria-t-il en désignant le dernier tombé.
Le G-Man s´approcha du Rocket qui remuer faiblement, dégaina sa Lamétrice, et l´enfonça dans le corps du malheureux.
- Voilà qui est arrangé, conclut il en nettoyant son épée sur l´uniforme d´un des soldats. Vous avez raison colonel, il faut toujours finir un travail commencé.
Et le G-Man éclata de rire. Un rire effrayant qui résonna dans la nuit, effrayant tous les paisible Pokemon qui dormaient. Régis se demanda vaguement si le gène qui provoquait la mutation des G-Man n´était pas aussi source de délire pathologique, d´une légère tendance à la psychopathie perverse et à un goût prononcé pour le meurtre. Le G-Man cessa son rire de fou, puis fit signe aux soldats de le suivre.
- Attendez Seigneur, dit le colonel. Nous allons les laisser là, à la merci du premier Pokemon sauvage venu ?
- Occupez vous d´eux, si ça vous fait plaisir. Nous, ont repart à Lavandia. Suivez loi soldats.
Les soldats hésitèrent, souhaitant aider leur supérieur et peu disposé à rester tous seul avec un fou déclarer. Le colonel leur fit signe que tous ira bien, et les soldats suivirent, réticents, le Prophète de Victoire.
Pectasov resta un moment immobile, seul, debout devant les corps. Puis il se laissa tomber à genou, accablé, maudissant les G-Man et cette guerre.
Régis n´hésita pas. Il dit à son groupe :
- Continuer. Je vous rejoint à la Maison des Pièges.
- Qu´est-ce que tu compte faire ? Demanda Pierre.
Mais Régis ne répondit pas. Il se leva, sortit des hautes herbes, et s´approcha du colonel.
- Colonel, fit il hésitant.
Pectasov sursauta et se retourna rapidement, l´arme à la main. Quand il vit Régis, son ébahissement le fit mettre un temps avant de baisser son pistolet.
- Chen ! Par Arceus, Capitaine, qu´est-ce que vous fichez ici !?
- Je suis en mission pour la Résistance, mon colonel.
Pectasov secoua la tête.
- Vous êtes tombé sur la tête ! Vous avez vu ce qui ce passe ici ?
- Oui mon colonel. Si vous le désirer, j´ai des hommes avec moi; ont pourrait tenter d´éliminer ou de prendre en otage le G-Man.
Régis avait cette proposition au colonel par charité. Si le colonel en avait plus qu´assez d´obéir aux ordres déments des G-Man et qu´il voulait venger ces Rockets, Régis l´aiderait, même si cela m´était en péril leurs mission. Mais le colonel Pectasov était un bon soldat.
- Espèce de fou ! Prendre Psuhyox comme otage !? Si vous souhaiter vraiment mourir, il y a des méthodes moins douloureuses. Si on vous trouve... Des G-Man patrouille dans toute la région Chen.
- Comment ça ? La région appartient à Suicune.
- Plus pour longtemps. Le Faucheur lui-même va prendre les opérations d´Hoenn en main. Il est arrivé hier de Voengard avec des centaines de G-Man. Ils ont repris Merouville et ne compte pas s´arrêter là. Hoenn va entrer en guerre.
- Je l´ignorais. Mais ça ne change en rien ma mission, dit Régis.
- Quel est votre mission ?
- Désolé mon colonel. Je ne peut vous le révéler.
Pectasov n´insista pas. Il observa Régis un moment, puis demanda :
- Pourquoi êtes vous venu ?
Cela lui avait semblé évident à Régis sur le coup, maintenant, face à son supérieur, il se trouva stupide.
- Je suis venu vous aider à enterrer les corps, dit il tout de même.
Pectasov jeta un coup d´œil au cadavre désarticulé des Rocket, puis soupira.
- Je peut m´en charger tous seul capitaine. Poursuivez votre mission.
- Est-ce un ordre mon colonel ?
Régis partirai si le colonel Pectasov le lui ordonnait, mais il ne pouvait supporter que son supérieur, un homme bon et juste, doive assumer la cruauté et la folie meurtrière des G-Man.
Régis avait une fois proposé à Pectasov d´intégrer la Rébellion, et le colonel avait hésiter; il était infiniment loyal au Conseil et croyait réellement à la justice et à la morale qu´il proclamait. De plus, il ne détestait pas, comme tant d´autres, les Pokemon, et il avait avoué à Régis que cela lui faisait mal à chaque fois qu´il en abattait un lors d´un combat. Régis le comprenait; lui aussi aimait les Pokemon.
Et Pectasov ne portait guère les G-Man dans son cœur, il ne l´avait jamais fait d´ailleurs, même avant que Sacha ne montre son vrai visage, alors qu´il y a à peine un ans, pratiquement tout le monde, Régis comprit, considéré les G-Man comme des héros et des sauveurs.
Et puis quelque soit ses autres raisons, Régis ne pouvait laissé sans funérailles descente n´importe quel humain ou Pokemon, même si l´un de ces Rockets avaient peut être ouvert le feu sur Elekable.
Pectasov lut sa détermination, et sourit un peu.
- Non capitaine. Ce n´est pas un ordre. Restez si vous le voulez.
Et ils se mirent au travail. Ils creusèrent sans pelle, sans Pokemon, chaque ampoule qu´ils gagnaient semblées être pour eux une revanche sur les G-Man. Au bout d´une demi heure, couvert de terre et épuisés, le colonel et le capitaine observèrent les douze tombes au bort de la mer.
- Aller accomplir votre mission maintenant, capitaine, lui dit Pectasov. Au rythme ou vont les choses, la Rébellion deviendra très vite la seule voie possible pour tous ceux qui aime la liberté et le respect de la vie...
Régis savait ce que lui coûtait ses paroles, car le colonel était un fervent soldat du Conseil. Apparemment, même lui prenait conscience que le Conseil était entre les mains des G-Man.
Régis lui fit un salut franc, auquel le colonel Pectasov répondit, puis ils se séparèrent, leurs funeste tâche accomplit.
Régis avança prudemment vers la Maison des Pièges, marchant doucement dans l´herbe, essayant distraitement de repéré ou Elekable était mort. Peut être resté il encore sur le sol un tache humide qui était jadis un Pokemon aimant et courageux. Arrivé devant la porte de l´édifice, qui ressemblait à n´importe quelle petite maison de route, il frappa trois coup sec.
- C´est moi.
La porte s´ouvrit. Riccos lui fi signe d´entrer. Pierre et Juech Garrod étaient devant le trou dans le parchemin qui faisait lieu de tapisserie et observaient, perplexe, le sombre tunnel.
Durrais s´adressa à Régis :
- Je ne suis pas sur que ce soit une bonne idée de s´introduire comme ça à l´improviste ici. Il doit sans doutes y avoir quelques pièges.
- Faisons sonner l´alarme, répondit Régis. Quelqu´un arrivera bien.
- Et qu´est-ce qui te dit qu´ils ne tirerons pas d´abords et qu´ils poseront les questions ensuite ?
- Les rebelles ne fonctionnent pas comme ça.
Enfin, nous du moins, se dit Régis.
- Et puis ils nous ont bien aidé la dernière fois, continua-t-il. Ils s´avaient sûrement qui nous étions.
Martial Durrais jeta un coup d´œil circulaire dans la pièce.
- Et comment on active l´alarme ?
Régis lui passa devant et sauta dans le tunnel. Rien ne se passa. Il avança de quelques pas. Toujours rien...
- Bizarre...
- Quoi, demanda Durrais qui le rejoignit.
- Quand Roxane était descendue, l´alarme c´était mis en marche. Pourtant, elle ne c´était pas mis en marche quand Jimmy était tombé.
- Peut être cet était ce une alarme qui détectait seulement les filles, plaisanta Durrais.
- Si c´est vrai, dit Pierre d´en haut, il faudra que je fasse affaires avec les gars du coin pour en obtenir une.
- Peut être est-ce juste parce que nous l´avons éteinte pour ce soir, en entendent votre arrivée, dit une voix claire derrière Régis.
Il failli avoir un crise cardiaque. Devant lui venait d´apparaître une silhouette qui ne se trouvait pas là il y a deux secondes. Au moins, se dit il en voyant la combinaison de la jeune femme qui était apparu, ils étaient sur la bonne voix. Elle portait une combinaison moulante beige, avec dessus le signe de la Résistance; une main humaine tenant une Pokeball.
La fille devait avoir a peu prés le même âge que Régis, avec deux ou trois années de moins. Même dans ce tunnel sombre, ou Régis était particulièrement inquiet, il ne manqua pas de remarquer qu´elle était particulièrement jolie. Son habit laissé entrevoir sa parfaite condition physique, et son jolie visage était encadré par des cheveux clairs qui lui tombait jusqu´au épaule et était illuminé par les plus formidables yeux bleue qui lui avait été donné de voir. Elle avait aussi accrochait à son avant bras droit un bandeau vert.
Avant que Régis ne retrouve l´usage de la parole, Pierre sauta dans le tunnel et se précipita vers la jeune inconnue plus vite qu´un Arcanin en pleine course.
- Belle héroïne, nul doutes que le destin a voulu...
Mais il s´arrêta, pétrifié. Il avait voulu prendre les mains de la jeune femme dans les siennes, mais il ne toucha que du vide. Ses mains passèrent au travers du corps de la jeune femme.
- AHHHH !! Hurla-t-il. ELLE N´EST PAS RÉELLE ! JE LE SAVAIS ! UNE TELLE BEAUTÉ NE POUVAIT ETRE QU´UN MIRAGE !!
- La ferme, ordonna Régis. Tout le coin va t´entendre.
- Aucun risque, dit la fille. Aucun son ne peut sortir de cette maison.
Tandis que Pierre continuait à gémir dans un coin et que Riccos et Garrod descendait, Régis demanda à l´apparition :
- Vous êtes quoi au juste ?
- C´est un hologramme, répondit Durrais, qui regardait sur son scanner portable. Je détecte une source d´énergie juste en dessous d´elle.
La fille acquiesça et dit :
- Nous sommes ravi d´accueillir chez nous des membres du Réseau Principal. Et pas les moindres, ajouta-t-elle en regardant Régis. Veuillez avancer ou je suis.
- Une minute très chère, dit Durrais. Qui nous dit que vous êtes bien de la Rébellion ? Hormis vos combinaisons voyantes.
- Le fait que si nous étions des Rockets ou des G-Man, vous seriez déjà capturés ou morts. Vous n´êtes pas bien discrets. Nos vigiles posté dehors nous ont avertis de votre approche bien avant que vous n´entriez dans la maison.
- C´est pas assez, continua Durrais. On a déjà vu les Rocket utilisaient des hologrammes.
- Nous vous avons porté assistance il y a quelques jours, pas loin d´ici. Vous étiez poursuivi par un groupe de Rocket.
- Les Rocket le savent aussi, s´entêta Durrais. Vous pourriez aussi bien en être.
L´hologramme soupira.
- Que puis je vous dire de plus ? C´est vous qui êtes venu ici. Nous ne vous avons rien fait. Vous pouvez conserver vos armes, si cela vous rassure. Mais maintenant que vous êtes entré ici et que vous nous avez vu, hors de question de partir avant que nous ayons fait plus ample connaissance.
- Et qu´est-ce qui nous retiendra ? Demanda Durrais sur un ton de défi.
- Juste les verrous automatique qui se sont mis en marche des que vous avez fermé la porte de la maison. Je vous donne ma parole de combattante pour la paix qu´il ne vous sera rien fait. Avancer sil vous plait.
Puis elle disparu. Mais à l´endroit ou elle se trouvait auparavant était apparu un cercle de métal. Régis s´approcha, confiant. Il serait très surpris que ce soit un piège des Rocket.
- Qui ne tente rien n´a rien, dit il.
Pierre ne se fit pas prier. L´idée de se retrouver face à la fille en chair et en os le motivait bien assez. Garrod et Riccos s´avancèrent, leurs visages dénué de crainte ou de confiance. Durrais, quant à lui, hésita quelques secondes, mais s´approcha, méfiant.
Quant ils furent tous sur le cercle lumineux, ils furent téléporté dix mètres en dessous.
Ils réapparurent dans un couloirs éclairé, ou le mur, le sol et le plafond semblé fait de verre. Régis vit que deux hommes armés les précédés. Leurs armes n´étaient pas pointés sur eux, mais pas totalement baissé non plus. Régis n´en prit pas ombrage. Ils auraient fait pareil ci c´était dans leur base. Ce ne fut pas le cas de Durrais, qui, en voyant les gardes, éleva un peu plus son arme. Ce qui amena les gardes à lever un peu plus les leurs. En réponse, Durrais empoigna son arme à deux mains. Les gardes mirent un doigts sur leurs détentes. Naturellement, Durrais fit de même et monta encore un peu son arme.
Trente secondes plus tard, Durrais et les gardes s´étaient mis en joue. Régis abaissa l´arme de Martial.
- Arrête, ordonna-t-il. On est pas chez nous...
Durrais décocha aux gardes un regard provocateur, comme si il les défiaient de tirer. Mais ceux-ci restèrent de marbre, et Durrais baissa à contrecoeur son arme. Les gardes firent de même.
- C´est mieux, fit Régis.
- BON, C´EST PAS FINI OUI ! ON PERT DU TEMPS LA !
Pierre n´en tenait plus.
- CONDUISEZ NOUS TOUT DE SUITE A LA FILLE QUI NOUS A PARLÉ, hurla-t-il aux gardes.
Régis soupira, mais les gardes restèrent neutre.
- Veuillez nous suivre messieurs, dit l´un deux.
Le garde qui venait de parler passa devant, tandis que l´autre resta derrière eux, son arme toujours mi levé. Durrais passa derrière lui exprès. Le garde ralentit le pas, pour laisser passer Durrais devant lui. Mais celui-ci ne l´entendait pas comme ça, et s´arrêta, fixant le garde. Trente seconde plus tard, ils étaient de nouveaux en joue, se foudroyant du regard, tandis que Pierre ne cessait de hurler pour qu´ils avancent. Régis en avait assez.
- ÇA SUFFIT ! C´est un ordre ! Pierre, contràle toi ! Et toi Durrais, passe devant.
Ce dernier lança un autre regard brûlant au garde, mais s´exécuta.
Ils arrivèrent à une porte scellée. Un des gardes colla son œil dans une fente de la porte, qui s´ouvrit. Ils franchirent un autre couloir, identique au précédent, et arrivèrent devant une autre porte blindée. Là, un des gardes colla son doigts sur un écran à empruntes digitales. L´écran passa au vert et la porte s´ouvrit.
Un autre couloir, une autre porte, un code à taper. Encore un couloir...
Vingt minutes plus tard, ils avaient enfin quitté les couloirs.
- Eh ben ça, dit Riccos, on peut dire que... que... c´est le summum de la sécurité.
- Ou plutôt le summum de la bêtise, dit Durrais assez fort pour que les gardes l´entendent.
- Mais ce n´est pas fini, dit l´un des gardes d´un ton qui se voulait neutre mais ou Régis perçut une certaine moquerie.
En effet, ça ne l´était pas. Ils passèrent des faussés cachés, des labyrinthes de miroir, des réseaux d´ascenseurs piégés, des robots mécaniques armés à qui il fallait répondre correctement à la question qu´ils posaient, des portes qui parlaient et qui demandaient des mots de passe ridiculement compliqués, et autres choses du genre.
Ce fut seulement au bout d´une heure que Régis, épuisé et les nerf à vif, dit d´un ton désagréable :
- Vous ne comptaient pas avoir beaucoup de visiteur dans le coins, hein ?
- Certes très peu, répondit un garde. Mais la prudence n´est jamais limitée...
- Pour peu qu´elle n´atteigne pas le ridicule de votre sécurité, répondit hargneusement Durrais. Si vous voulez être prudents, commencer donc à changer vos combinaisons. Vous aurez porter la tenue des G-Man ou le R rouge avec le même effet.
- Si on veut paraître discret, on n´a qu´à faire ça...
Un des gardes toucha de son doigt le point qui représentait le centre de la Pokeball dessinée. Aussitôt, le signe de la main tenant la balle rouge sembla s´étirer, et se fondit en un tourbillon de couleur sur la combinaison. A présent, elle était de couleur rouge et blanche, avec un peu de noir, sans signes distincts.
Garrod, qui avait gardé le silence jusque là, lança d´une voix ou perlait un soupçon de jalousie :
- Pourquoi ont a pas tous ça, chez nous ? Des hologrammes, des téléporteurs, des robots, des portes intelligentes et des combinaisons changeante...
- Ils ont peut être un plus gros budget que nous, répondit Durrais d´un ton penaud. M´aurait on payé plus, j´aurais déjà inventé l´annulateur des pouvoirs G-Man.
- Dîtes ! On y est bientôt ? S´impatienta Pierre.
- On y est, répondit un garde.
Il y avait devant eux une porte plus blindées que les précédentes, avec pas mal de boutons et de clignotants. Un des gardes tourna ce qui semblait être des roulettes et l´autre gardes tapa en même temps un énième code. La porte grinça et s´ouvrit.
Ils entrèrent dans une salle de contràle, ou pianoté sur des ordinateurs une trentaines de rebelles. D´autres étudiaient des cartes de la région, d´autres comparé sur scanner différents Pokemon. Au moins, se dit Régis, voilà des Rebelles qui utilisaient les Pokemon. Régis avait souvent rencontrer des petits Réseaux locaux qui ne comprenaient aucun dresseur.
Les individus présents ne tournèrent pas la tête de leurs taches à leurs entrées. Cette salle devait être un lieu de passage courent. Seule une silhouette familière leur adressa la parole :
- Bienvenue au Q.G du Réseau Rebelle d´Hoenn, fit la jeune femme d´un ton chaleureux. Et je vous prie de m´excuser pour le débordement de sécurité établi.
Durrais fit la moue, signe qu´il n´était pas près à accepter ses excuses. Pierre, en revanche, y semblé tous disposé. Il failli faire tombé Régis quand il se précipita sur sa cible.
- AHHHH!! Vous êtes encore plus belle en vrai. Je comprend parfaitement qu´on doivent protégé une personne comme vous. Puisons nous ramener ensemble la paix dans ce monde. Puis nous resterons ensemble pour toujours, dut-je détruire la dernière pierre de Voengard et de Nordya pour celaaaaAHHH!!!
Son dernier cri fut un cri de douleur, quand une de ses Pokeball s´activa et qu´un Coatox frappa Pierre aux cotes avec son Direct Toxik. Pierre s´écroula au sol, et son Coatox l´attrapa par la jambe et le tira loin de la jeune femme. Cette dernière ne sembla pas s´étonner de l´attitude de Pierre, au contraire, un sourire illumina son jolie visage.
- Je savais que c´était toi Pierre !
Le soldat à coté d´elle, qui avait durci l´œil quand Pierre a débité son serment d´amour, observa Pierre, surpris. Ce dernier se releva et s´exclama :
- Vous me connaissez, beauté ? Bien sur, suis-je bête... Toute les femmes de la Rébellion ont du entendre parler de mon charme au-delà de la moyenne.
- A moins que ce ne soit de ton problème mental qu´elles ont entendues parler, marmonna Durrais.
L´officier à coté de la fille, qui portait une combinaison renforcé et un casque, comme si il sortait d´une bataille, ricana et dit d´une voix sèche :
- Il n´a pas trop changé...
- Pierre, dit la fille, c´est moi, Flora.
Pierre cligna des yeux, comme pour chasser une illusion, regarda la dénommée Flora attentivement, puis l´homme à coté d´elle.
- Drew ? Demanda-t-il.
- Moi-même, fit l´autre en enleva son casque et en dévoilant des cheveux verts olives, ou il se passa une main dedans pour remonter une mèche.
Régis ne savait pas ce qui ce passait, si ce n´est que Pierre sembler connaître ces deux là. Et, puisque Pierre était Pierre, il ne trouva rien d´autre à dire sur le moment à d´anciens amis que :
- Alors, vous êtes ensemble maintenant ?
Sa question glaça instantanément l´atmosphère, comme si une horde de Pokemon Spectre avait surgis. Flora rougit, et se sentit soudain intéressé par le sol. Drew serra les poings et regarda tout sauf Flora.
Régis s´empressa d´intervenir.
- Ravi de voir que vous vous connaissez, mais je n´ai pas eut cet honneur...
- Nous, nous vous connaissons Régis Chen, dit Drew en lui tendant la main. Qui ne vous connaitrez pas parmi les Rebelles ?
Régis la serra, se demanda si cette remarque était moqueuse ou élogieuse.
- Je m´appelle Flora Palmer, dit Flora. Je suis la seconde du chef de cette base. Et voici Drew Fultibs, le commandant des missions du réseaux.
Palmer. Ce nom lui disait quelque chose, mais il n´arriva pas à se rappeler quoi.
Quant tous le monde fut présenté et échangé quelques paroles avec Drew sur la sécurité de la base, Pierre parla seul à seul avec Flora.
- Tu as changée, dit il. Ça fait combien, Huit ans ? Je ne t´ai pas reconnu sans ton bandana.
- Il n´est pas loin, dit elle en montrant son bandeau vert accroché au bras. Toi, tu n´a pas changé, et apparemment, tu n´a toujours pas trouvé l´élu de ton cœur ?
- Ne m´en parle pas... Je suis heureux que tu dans la Résistance. Tellement d´anciens amis sont devenue nos ennemis aujourd´hui... Attend que je le raconte à Aurore...
- Ah, elle est chez vous ? Eh ben, ça va être comme au bon vieux temps.
- Sauf que cette fois, le pivot du groupe est un ennemi.
Flora tiqua au mot « ennemi Â», mais son regard océan s´assombrit.
- Oui... Comment a-t-il pu en arriver là ? Je vais te parler franchement Pierre. Dans notre réseau, il y a en pas mal qui soutiennent les G-Man. La plupart d´entre nous ont combattu avec lui il y a deux ans contre Suicune et les Réprouvés
- Tu été à Unescia ?
- Non. Seul Max s´y trouvait à l´époque. Nous l´avons rejoint un peu après, alors qu´il commençait juste, avec Richie, de fondé l´Ordre. Avant qu´il ne commette toutes ses horreurs... Au début, nous avons cru à sa cause. Nous avons vu en lui le défenseur, le sauveur, le héros qu´il a toujours été. Mais au fur et à mesure, il devenait de plus en plus mauvais et paranoïaque. Un jour, il m´a arrêté, moi et d´autres, parce qu´il pensait qu´on comploté contre lui, et il nous as condamner à mort. Après tout ce qu´on a vécu ensemble, alors que nous ne cherchions qu´a l´aider...
- La haine fait faire aux gens des choses horribles, dit Pierre à voix basse.
- Enfin... nous avons réussit à nous évader, et nous somme revenu à Hoenn. Nous voulions vivre éloigné de la guerre. Puis Suicune est arrivé, et à commencé à envahir la région. C´est là que le réseau fut crée, un peu avant la création de la Rébellion par le professeur Chen.
Régis et Drew les rejoignirent. Régis prit la parole :
- Nous somme venu pour vous demander votre aide dans une mission de sauvetage, dit il sans préambule.
- De qui devons nous sauver votre ami ? Demanda Drew.
- De la Team Rocket.
- Alors je ne pense pas qu´il y aura de problème, fit il , sinistre. La Team Rocket se situe juste derrière Suicune dans la liste de mes gars que je déteste.
- Nous vous aiderons dans le mesure du possible, dit Flora. Mais nous allons devoir nous passer de réunion officielle pour l´instant. Notre chef n´est pas joignable durant quelques jours.
- Il faudra faire ce sauvetage le plus vite possible, dit Régis. Notre ami est le Métalosse brillant. Nous ne pouvons le laisser au main des Rocket !
- Non, acquiesça Flora. Il m´est impensable que ces idiots détiennent une minute de plus un Pokemon brillant ! Allons voir le chef de la base.
Elle et Drew les conduisirent à travers des salles plus informatisaient les unes que les autres. Régis y vit des ordinateurs et des appareils dont il ignorait la fonction. A coté de ce réseau, le réseau principal paraissait comme un petit réseau régional.
- Vous semblez être à la pointe de la technologie, dit Durrais, impressionner malgré lui. Même le Conseil n´a pas de tel joujoux...
- De même que la Team Rocket, ajouta Riccos.
- Le patron des lieux est, en plus d´un excellent dresseur, un génie de l´informatique, dit Drew. Il a inventé lui-même bon nombre de chose que vous voyer ici.
- Je suis pressé de le rencontrer, avoua Durrais, enthousiasmait et surpris à l´idée qu´un chef de base soit aussi un scientifique. Mais j´espère que le trajet sera moins long que tout à l´heure...
Il l´était, bien que tout de même encore très sécurisé. Arrivé devant la porte du bureau du commandant, Flora frappa et dit :
- C´est moi, je ramène nos invités.
La porte s´ouvrit, et Régis, quant il vit ce qu´il y avait à l´intérieur, braqua son arme, aussitôt imité par Durrais et Garrod. A l´intérieur de la pièce, prés du bureau ou été assis quelqu´un, se trouvait Deoxys, le Pokemon extraterrestre qui servait Sacha, et qui avait tenté auparavant d´envahir la Terre en contaminant tous ses habitants, humains comme Pokemon, avec son ADN. Il flottait dans les air, sous sa forme normale, ses divisé en tentacule se mouvant. Quant il vit Régis entrer en levant son arme, il prit aussitôt sa forme défense. Mais peut importe. Régis appuya sur le bouton de son arme qui chargeait les balles à Der-Gen001 et visa l´extraterrestre, sans tenir compte du « Non Â» de Flora et du juron de Drew. Mais avant qu´il n´est pu ouvrir le feu, quelqu´un lui enserra le bras et, par une prise que Régis ignorait, le mit à terre en lui prenant son arme.
Garrod et Durrais se précipitèrent, leurs armes pointé sur Deoxys et sur l´agresseur de Régis. Flora s´interposa entre eux et les armes.
- Non ! Vous n´avez rien à craindre ! Cria-t-elle. Il n´est pas méchant. Ce n´est pas le même que celui des G-Man !
Les deux hommes ne lâchèrent pas leurs armes pour autant.
- Comment ça, « ce n´est pas le même Â» ? S´écria Durrais. C´est un légendaire non ? Il n´y en a plus qu´un.
- Non ! Je vous en prie, baissez vos armes.
Garrod et Durrais hésitèrent, mais Pierre s´approcha et dit :
- Elle a raison. Il y a un autre Deoxys. En dehors de ceux de l´Infection...
Régis tenta de retrouver son souffle et ses esprits. Une main se présenta au dessus de lui. Régis la prit pour se relever, et se retrouva face à un adolescent à lunette et au cheveux noirs.
- Content de vous revoir, professeur Chen, dit il à Régis.
Régis le regarda. Il ne devait pas avoir plus de dix huit ans, d´ailleurs, sa voix portait encore les accents de l´enfance. Il était de taille moyenne et avait les yeux noisettes. Pourtant, Régis déceler dans son regard une intelligence et une maturité qui le faisait passé plus âgé, et malgré sa taille et son âge, il avait expédier Régis au tapis avec une facilitée déconcertante. Le Deoxys alla derrière le dos du gamin, comme pour s´y caché.
- Tu te trompe de Chen, mon gars, dit Régis. On ne peut pas dire que ma carrière de prof est duré bien longtemps.
- Un professeur est toujours professeur, dit le jeune homme.
- Si tu le dis... Mais je ne pense pas te connaître, et j´ai pourtant une bonne mémoire.
- On c´est rencontrer brièvement trois ans avant la guerre, et juste avant qu`elle ne débute, à Unescia. Je m´appelle Max Palmer. Je vous ait aidé à trouver la source d´ondes magnétiques, à Johto. Puis nous étions tous les deux dans les huit finaliste de la Ligue du Nomade de Maliognus.
Régis fouilla dans sa mémoire, et ça lui revint.
- Oui... dit il lentement. Je faisais des études à Johto sur d´inquiétantes ondes magnétiques qui déréglait le climat. Tu été un jeune dresseur, et tu savais apparemment ce qu´elle signifiait. Elles provenaient...
- De mon Pokemon que vous avez tenté d´abattre il y a une minute, finit il.
- Ton Pokemon !? s´écria Durrais. Je dois te prévenir que je garde un souvenir cuisant de la période d´infection ! Quel genre d´humain peut il s´enticher de ce genre d´extraterrestre cinglé ?
- Le genre qui gagne la Ligue Hoenn seulement douze ans, dit Pierre en s´approchant de l´adolescent. Content de te revoir Max, ça fait un bail.
Max sourit, et étreignit Pierre comme un frère.
Durrais fronça les sourcils, mais baissa son arme.
- Encore un ancien ami ? Dit il.
- Nous avons fait un bout de chemin ensemble, lui et sa sœur, répondit Pierre. Il faut ajouter que j´ai grandement contribué à l´éducation de ce jeune homme.
- Diables, s´exclama Durrais. J´espère que tu ne lui a pas enseigné ta science des cœurs...
- Je vous souhaite la bienvenue dans cette base, dit Max au groupe. Je dirige cette base.
Ce gamin, chef !?
Régis le pensa, mais Durrais le dit à voix haute :
- Vous fondez votre hiérarchie en fonction des talents de dresseurs chez vous ?
Régis espéra que Max n´en prendrai pas offense, et il n´en fit rien.
- Entre autre, répondit il aimablement. Nous sommes tous d´anciens dresseurs ou d´anciens coordinateurs.
- Et nul doutes que quelqu´un ayant remporté le tournoi de la ligue Hoenn seulement douze ans serait bien placé pour devenir chef d´une telle équipe, ironisa Durrais.
Régis grimaça, s´apprêtant à rappeler Durrais à l´ordre et à présenter ses excuses à Palmer. Il est vrai que Durrais n´appréciait que très sommairement les dresseurs de Pokemon. Régis lui-même avait eu du mal à gagner sa confiance, puis son amitié.
Drew foudroya l´insolent du regard.
- Du respect, exigea-t-il. Max n´est pas seulement un dresseur exceptionnel, il est aussi un grand meneur d´homme, et de plus, il est le fils du chef du réseau !
- Ah..., dit Durrais. Désolé de ne pas avoir compris ce qui expliquer son poste...
Drew s´approcha menacent. Max intervint :
- Ça ira Drew, merci.
Régis lança un regard d´avertissement à Durrais. celui-ci soupira et dit en contrecoeur :
- Mes excuses, monsieur le commandant. J´ignore juste vos réelles qualités, et je ne doute pas qu´elle soit à la hauteur de votre réseau.
Max hocha la tête.
- Ne vous inquiéter pas. Vous êtes pas le premier à me faire la remarque.
Régis était dans le même cas que lui, étant le petit fils du chef de la Résistance, et aussi un dresseur doué. Ce Max lui attira tout de suite son respect.
- Les capacités de commandement ne se jugent pas à l´âge, dit il. Néanmoins, il me plairait un jour de t´affronter dans un match, Max, si tu as toujours tes Pokemon.
Max le regarda et sourit.
- J´en serait ravi. Nous pouvons le faire de suite même.
L´offre prit Régis au dépourvut. Pour sur qu´il aimerai refaire un match contre un dresseur doué, mais pendant qu´il parlait, en ce moment même, Metalosse était peut être en train de se faire torturer par les Rocket.
Juech Garrod résuma sa pensée :
- Euh... nous devrions peut être attendre les négociations et le cas qui nous amènes, dit il, hésitant.
- Comme Flora vous la sans doute dit, répondit Max, le chef, mon père, est actuellement injoignable, et toute nos mission son suspendu jusqu´à son retour. Alors prenait vos aises, nous commenceront le briefing demain. Et puis, un bon combat est un bon moyen de se faire des amis, conclut t´il.
Régis se laissa convaincre.
- Je suis partant. Mais vous avez un terrain dans votre base ?
- Bien sur. L´entraînement d´un dresseur et de son Pokemon est l´une de nos activité essentielle. Pas vous ?
- Et bien... nous ne nous servons plus trop de nos Pokemon chez nous, et tous le monde n´en as pas.
- Bizarre. J´aurais cru que le réseau principal comprenait plus de dresseurs que nous.
- Ce fut le cas, il y a un ans, fit Régis sans essayer de penser à la bureaucratie mortelle qui s´était installé dans son réseau.
Régis se sentit bien ici, dans cette base, avec ses anciens dresseurs, sans chefs qui se disputaient sur la couleurs de leurs uniformes, avec seulement un seul commandant. Lui aurait on donnait le choix, il serait bien restait ici.
Ils suivirent Max dans un dédale de couloirs, d´ascenseurs et de salles. Le Deoxys flottait toujours derrière son dresseur, lançant de temps à autre d´étrange sons auxquels Max répondit, comme si il le comprenait. Ce qui impressionna d´autant plus Régis. Capturer un Pokemon Légendaire n´était pas choses facile. Pour autant qu´il le savait, seul Brandon y était parvenu. Mais communiquer avec un extraterrestre, qui avait de plus la réputation de rejeter les sentiments humains...
Pierre, naturellement, s´approcha de Max pour lui parler.
- Alors comme ça, dit il, ton père est le créateur de ce réseau ?
- Ouais, dit il avec fierté, la fierté d´un fils qui admirait son père. Il l´a fondé un peu avant que la Résistance est une existence officielle, lorsque Suicune et ses armées envahirent Hoenn. Nous étions à l´origine une sorte d´organisation de résistants au Armées de l´Aurore.
Bien que ça est un peu changé maintenant, notre réseau est toujours très anti-Suicune, et un peu partisans des G-Man.
- C´est compréhensible. Et toi, quand pense tu ?
Max réfléchit à sa réponse en se passant une main dans ses cheveux.
- Je n´irai pas jusqu´à me faire greffer le gène, mais je pense qu´il serai préférable, qu´à terme, les G-Man gagne la guerre.
- Donc, termina Pierre, vous vous battez en priorité contre Suicune.
Max lui sourit.
- Ne te méprend pas. Nous nous battons en priorité pour la paix, comme vous. La Team Rocket n´est pas épargné par nos actions, et bien que nous évitons de nous frotter au G-Man, nous avons déjà fais échouer quelques uns de leurs plans de destructions gratuites. Mais tu savais que les G-Man étaient en train de reprendre Hoenn ?
- Oui, d´après ce qu´on a vu dehors...
- Laissons faire Sacha pour virer Suicune, et continuons nos frappe contre la Team Rocket. Il n´y a que de cette façon que nous pourrons vaincre. Il est impossible de se battre contre trois camps en même temps...
- Je suis d´accord, fit Drew, se mêlant à la conversation. Et il ne faut pas oublier que c´est Suicune et la Team Rocket qui ont déclanché cette guerre, pas les G-Man.
- Certes, fit Garrod. Mais la Résistance fut crée à l´origine pour lutter contre le régime dictatorial imposé par le Faucheur.
- Nous n´approuvons pas Sacha, riposta Max. Mais notre idée est qu´il vos mieux un tyran qui gouverne que trois tyrans qui se font la guerre. Occupons nous d´abords de mettre fin à la guerre, puis nous nous occuperons des G-Man.
- La clé de la fin de la guerre est Suicune, affirma Drew. Je ne crois pas que la Team Rocket continua ça petite guéguerre si les Pokemon sont vaincu.
- Euh...pardonnez moi...mais je pense que ci, au contraire, bafouilla Riccos, qui c´était tenue à l´écart. Giovanni n´aurait pas fait tous ça juste pour détruire Suicune. Il préparer un coup d´État depuis bien avant la guerre.
Drew le regarda comme si il venait de se rendre compte de sa présence.
- Vous sembler en savoir beaucoup sur la Team Rocket, monsieur.
- C´est parce qu´il en faisait parti, dit Durrais d´une voix sèche, comme si il marquait l´ignorance de Drew. C´est l´un de nos espion.
Drew lui lança un regard à la fois soupçonneux et de dégoût. Flora lui prit la main, et il se calma, détournant le regard.
Pierre s´adressa à Max à voix base.
- Un problème ?
- Drew n´aime pas beaucoup les Rockets, encore moins les espions Rocket. L´un d´entre eux les a vendu, lui et sa famille, quand ils ont refusé de s´engager dans la Team. Le petit frère de Drew a été tué.
Pierre se retourna pour observer discrètement Drew, l´air sombre, qui marchait, tête baissé, à coté de Flora, qui elle le regarder d´un air inquiet.
- Alors, tenta Pierre pour revenir à des choses plus gaies, et aussi parce que la réponse l´intéressée, ils sont ensembles oui ou non ?
Max leva les yeux au ciel.
- A quoi t´attendez tu en les laissant tous les deux seuls pendant un ans à Johto ? Mais plus de cinq ans de fréquentation ne les ont pas apaisés. Ils passent parfois trois mois à ne plus se parler, pour dieu sait qu´elle raisons. Il viennent juste de se réconcilier...
- Ils ont peut être besoins des conseils d´un maître en la matière, dit Pierre d´un ton modeste. Comme moi, le docteur Love !
- Il serait plus facile de trouver un moyen de gagner cette guerre demain que de comprendre ces deux là, dit Max en riant. Ils me rendent dingue. (Max leva les yeux sur la personne qui venait d´arriver à l´intersection d´un couloir). Et ils ne sont pas les seuls, acheva-t-il dans un soupir.
L´individu aurait pu ressembler à une asperge humaine si il n´avait pas ce chapeau pointu vert au sommet du crâne et des piquants sur tous le corps. Il avait une tenu verte des pieds à la têtes, de longs cheveux violets qui lui tombaient sur les épaules, et il se déplaçait en bougeant son arrière train.
Pierre resta pétrifier à l´approche de cet énergumène. C´était Harley, l´éternel Harley, l´excentrique Harley...
- Max chérie, dit il d´une voix aigu avec des accents féminins, je suis rentré de mission. Je dois te dire que les Lavandiens sont furieux, et que...
Il s´interrompit quant il vit le groupe de Régis.
- Tiens, mais qui sont ses charmants jeunes hommes ? Enfin, pour la plupart...
Juech Garrod fronça les sourcils mais ne dit mots. Max soupira.
- Ce sont des représentants du réseaux principal Harley.
- Olala !! Grands dieux ! Le réseau du professeur Chen chez nous ?! Eh... mais, je te connais toi, s´écria-t-il en montrant Pierre. Tu était de voyage avec Flora et Max il y a longtemps. Et toi, continua-t-il en regardant Régis, on t´a sauvé de la Team Rocket il y a quelques jours.
- Euh... ouais, dit Régis, la voix l´esprit momentanément coupé à la vue de ce type.
Garrod le regardait sévèrement, Riccos se tenait à l´écart, comme si il craignait qu´Harley ne lui saute dessus, et Durrais était plié d´un rire qu´il essayait de contenir.
- Harley, dit Flora. On allé au stade, pour que Régis livre un match contre Max. Pourquoi ne viendrai tu pas avec nous, finit elle sans regarder des hochements de tête frénétiques de son frère et du regard menacent de Drew.
- Ohhhh mais oui, je viens ! S´écria Harley, au grand dam de Max et de Drew. Je suis toujours ravi de voir Max écraser les gars assez fous pour vouloir le défier.
Ils continuèrent leurs marches, chacun essayant le plus possible de s´éloigner d´Harley, qui fit sursauté par trois fois Régis en poussant des grands « Ahhhhhh Â» et des « Ohhhhhh Â».
Enfin, ils arrivèrent sur le terrain. Un vrai terrain de match, comme ceux des arènes. A la vue de ce terrain ou il avait passé la grande parti de sa jeunesse, il oublia instantanément les quelques scrupules qu´il avait eu de s´amuser tandis que Metalosse était prisonnier. Max alla s´installer au bout du stade, sur la place réservé aux dresseurs. Régis fit de même.
- Tu fais l´arbitre Pierre ? Demanda Max. Comme au bon vieux temps.
Pierre acquiesça et alla se placer au bord centre du terrain, tandis que Durrais, Garrod, Riccos, Flora, Drew et Harley s´installèrent sur les premières place des gradins.
Pierre s´adressa au dresseurs :
- A combien de Pokemon voulait vous combattre ?
Cette question sortit Régis de son rêve éveiller et la ramena brutalement à la réalité. Il se souvint avec un pincement au cœur qu´il n´avait plus que cinq Pokemon maintenant.
- Nous jouerons à quatre, par manche, dit Max. Si tu est d´accords, fit il avec un regard pour Régis.
- C´est parfait, fit celui-ci.
Et Régis saisi sa première Pokeball, revenant dans l´a oubliant la guerre, les combats, les morts, retrouvant sa joie d´enfance pour les combats Pokemon.
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