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Lecture d'un chapitre
| Lecture du chapitre 14 | |
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| Nom de l'œuvre : Le Destin des Elus : Partie 1 | Nom du chapitre : Frères Ennemis |
| Écrit par Plume d'Argent | Chapitre publié le : 18/1/2012 à 19:51 |
| Œuvre lue 20570 fois | Dernière édition le : 7/2/2012 à 19:19 |
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| Frères Ennemis Merise brûlait de donner une leçon au jeune effronté qui se moquait de ses propres dieux. N’était-ce pas un Pokémon puissant comme Kyogre ou Groudon qui lui avait donné ces pouvoirs ? Elle voyait Izua bouillonner d’une colère noire et terrible qu’il ne pouvait plus arrêter à présent. -Une véritable mission ? Tu veux que nous reniions nos dieux ? Witt, qu’est-ce qui t’est arrivé ces deux derniers mois ? Gronda le Pyroli, sa fourrure hérissée par la rage. Le Voltali le regarda d’un air qui ne laissait paraître rien de bon. -Il ne m’est rien arrivé, Izua. Tu le sais que nous sommes toujours frères ennemis. Je veux juste que tu te rallies à moi pour effectuer cette mission. L’Aquali se plaça à côté de son ami : -Pour qui te prends-tu en te moquant d’Arceus ? Nos dieux nous donnent une confiance pas seulement des pouvoirs ! Cette fois-ci ce fut la Givrali qui répondit : -Nous sommes beaucoup plus puissants que les dieux à présent, pourquoi devrions-nous nous abaisser à leurs ordres ? Courroucée par le ton du Pokémon, Merise se tut, une colère minime mais prête à exploser commençant à l’envahir. Izua regarda son frère dans les yeux : -Je ne peux pas Witt. Mon cœur reste vers les dieux et je ne peux pas trahir la confiance que m’a accordée Groudon. Je suis désolé, mais ton « empire » idéal ne m’intéresse pas. Le Pyroli fit signe à son amie qu’ils repartaient mais les évènements prirent une tournure inattendue. Witt n’acceptait pas que son frère soit indifférent par ses propos et il se plaça devant avec une arrogance qui ne présageait rien de bon. -Tu crois que je vais te laisser partir comme ça ? Sans toi, je ne peux pas mettre mon plan à exécution. Que tu le veuilles ou non, c’est toi qui avais mis en marche le mécanisme de la mort sur nos parents ! Siffla le Voltali avec fureur. Izua hoqueta d’indignation et fulmina : -C’est toi qui les as tués ! Comment peux-tu m’accuser d’un meurtre Witt ! Je ne te reconnais pas ! -Je les ai tués parce qu’ils n’ont pas compris que nous étions spéciaux et que le monde serait à nos pieds ! Izua, j’aurais préféré que tu restes en vie mais puisque tu n’es pas aussi coopératif, je vais devoir t’éliminer. Les yeux de Merise se remplirent d’effroi tandis que le Roucarnage commençait à s’agiter à coté de la Givrali. L’oiseau leva une de ses serres entourées d’un objet métallique et tranchant : -Witt, ce n’est pas une bonne idée. Le Voltali lui lança un regard ombrageux : -Depuis quand contestes-tu mes ordres, Lidder ? L’oiseau ne broncha pas devant son soi-disant chef et répondit le plus calmement du monde : -Parce que tu risques les représailles de Groudon. Electhor t’as pourtant expliqué qu’il appréciait d’un mauvais œil qu’on s’attaque à son Elu dans le but de le tuer. Witt partit dans un risque presque hystérique et dit : -Je suis plus puissant qu’un dieu ! Et Izua n’aura jamais le cœur à m’attaquer. Regarde bien ce qui va se passer. Le Voltali se tourna vers son frère et chargea une boule d’énergie électrique : -Il est tellement attaché à moi qu’il mourrait sans s’y opposer ! Sur ces paroles, il lança son attaque tandis que le cri terrifié de Merise résonnait dans le vide, et qu’une flaque pourpre se forme sur le sol à présent transformé en cendres. Dans les profondeurs de la terre, deux dieux rivaux entendirent les cris désespérés de leurs Elus. L’un étant effrayé et l’autre se maudissant pour sa stupidité. Groudon ouvrit ses yeux de fureur qui rougeoyait d’un éclat étrange. Quelqu’un de mauvais et qui était pourtant un Elu venait de dépasser une limite qui le mènerait peut-être à sa mort. Le lézard gronda et grâce à ses pouvoirs plus que surpuissants, il se téléporta sur la terre où une terrible guerre s’apprêtait à commencer. Ce même conflit qui avait mené les Elus à leur perte il y a plus de milles ans. Mais maintenant, les dieux ne pouvaient pas rester les bras croisés. Leurs protégés ne pourraient pas régler ceci eux-mêmes. Les légendaires devaient poser des règles précises et des limites aux jeunes Elus qui n’en mèneraient pas large devant sa colère. |
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