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Lecture du chapitre 6 | |
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Nom de l'œuvre : Le livre de l'histoire : I)la mythologie des pokemons | Nom du chapitre : Pyrax ou le miracle du feu |
Écrit par willilaurent | Chapitre publié le : 11/8/2012 à 22:53 |
Œuvre lue 19730 fois | Dernière édition le : 14/8/2012 à 22:15 |
L'évolution. Elle a permis aux pokemons de s'adapter aux environnements les plus hostiles. Des formes inédites sont apparues. Mais lorsqu'une force fondamentale s'en mêle, le résultat peut être extraordinaire. Il y a -10000 ans s'ouvrait la dernière période glacière. De nombreuses espèces de pokemons furent pratiquement décimées. Pyrax fut l'une d'entre elles. A l'origine, il y a -65 million d'année, seuls les petits pokemons purent survivre en se réfugiant sous terre, échappant aux gaz toxiques. Un petit pokemon, une chenille, un type insecte tentait d'échapper au brasier, puis au froid qui s'en suivit. Cet ancêtre du pyronille appelé chenilli par les spécialistes, n'était pas aussi robuste que notre pyronille et son alimentation était composée exclusivement de plante qui étaient devenues toxiques. On a retrouvé beaucoup de fossile de l'espèce datant de l'époque... Mais un pokemon feu, lui, résiste bien mieux au froid et de surccroît, ce pokemon peut puiser de l'énergie dans n'importe quelle source de chaleur. On ne sait ni comment ni où cela arriva, mais chenilli disparu quant le type feu et insecte ne formèrent plus qu'un. Cela ne s'est produit qu'une seul fois dans l'histoite. Probablement, au fil des générations, des chenilli qui habitaient près d'un volcan se sont progressivement acclimatés à la chaleur, puis ont appris des attaques de type feu et dernière étape du processus fut d'intégré la force feu. Les pyronilles bien munis par le hasard par leur type insecte et feu établirent peu à peu leur suprématie sur une bande de territoire à Unys - sur une bande de terre ,aujourd'hui la route 4 - de nos jours un désert, mais à l'époque, une forêt de type tempéré à la végétation luxuriante. Leurs attaques feu repoussaient les autres insectes et les attaques insectes tous les types plantes. C'étaient des conditions idéales pour qu'émerge une évolution. Progressivement, les pyronilles eurent une évolution qui se stabilsa vers -45000, date des premiers fossiles de pyrax. Pourquoi ces conditions idéales sont-elles la clé de l'énigme. Parce que, le double-type insecte/feu, deux types pratiquement incompatibles, ont tendances à s'opposer. C'est pourquoi, l'évolution en pyrax est très tardive, au niveau 59, ce qui nécéssite donc une éspérance de vie importante. Inversement, des types eau/plante, types extrémement compatible, auront une évolution souvent plus précoce. Pyrax était un prodige de la nature : sa puissance et sa grâce recommandaient un respect craintif aux autes pokemons. L'aura du pyrax est aussi une des plus remarquables, tellement remarquable qu'elle brouille les auras environnentes. Cependant, un pyrax a besoin d'espace, au minimum, une montagne pour lui seul. Les combats entre pyrax pour le territoire devaient résonner dans les vallés. Côtés positif, leur nombre était de ce fait limité, tout au plus autour de 400. Cependant, la montagne pour laquelle Pyrax avait la charge était protégé par ce dernier : un intru était rapidemment chassé. Et chez les hommes aussi, Pyrax exerçait une véritable fascination, surtout chez les dresseurs... On sait qu'il a existé des cultes en son honneur. Et donc, les hommes les chassaient massivement. Bien sûr, pas les pyrax, mais les pyronilles ! beaucoup moins puissants... Et bientôt, il y eut plus de Pyrax que de pyronille, car comme il a déja été dit, l'évolution allonge la durée de vie du pokemon : 60 ans au plus pour pyronille sauvage, jusqu'à 500 ans pour un pyrax. Et c'est dans ce moment, où l'espèce était déja menacé, que en -10000 un grand froid s'installa. Le type feu, protégeait dans un premier temps le pyronille. Mais le changement climatique d'alors avait modifié les courants d'air atmosphériques. La sécheresse vint, la forêt céda à un désert sans une goutte d'eau. Les hommes de l'époque parle alors d'une disparition totale du pyronille en moins d'un siècle. Mais même le plus fort des pokemons ne peut survivre dans un tel environnemment, s'il n'est pas d'un type approprié. Peu à peu, tous les pyrax disparurent jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'un, le plus vieux et le plus puissant d'entre tous. Celui décida qu'il devait servir de mémoire et de guide aux quelques pyronilles que possédaient des dresseurs, qui pourraient revitaliser l'espèce par la suite. Mais comment vivre suffisamment longtemps. La providence s'en mêla. Au milieu du désert, caché avant par les forêt, redécouvert maintenant par ce désert, il y avait un vieux temple qui semblait immatériel, tant il en émmanait une énergie divine : un pure concentré d'énergie. C'était en réalité un des temples des premiers temps de l'histoire de la terre, construit par Arcéus lui-même afin de sacraliser la région d'Unys lors de son baptême. Ce temple allait servir de modèle pour toute l'architecture des hommes des centaines de millions d'année après. Une construction du même type se trouve à Michina dans les ruines du temple Alpha, où Arcéus gravit trois runes renfermant l'essence de palkia, dialga et de giratina. Ainsi, si l'un des trois dragons légendaires devaient disparaître, l'équilibre ne serait pas rompu. Arcéus pouvait réssuciter le pokemon en activant la rune. C'était donc le lieu idéal pour la méditation de Pyrax durant ces heures d'isolement dans un état de survie latente. Avec l'aide des hommes, Pyrax s'enferma dans la salle la plus profeonde au coeur du temple. Et on dit que jusqu'à nos jours grâce à l'énergie du temple il y aurait survécu et on peu encore aujourd'hui sentir vibrer une énergie particulière en provenance du temple. Bien que la chambre n'a jamais été retrouvé, des bruits lointaints et des dessins, gravures, sculptures peinturent de la main de l'homme attestent de la présence d'un pyrax quelque part. Un autre indice est qu'une visite au temple semble accélérer l'évolution des pyroniiles. Comme dans un conte, tout est bien qui finit bien. Eh oui, les derniers survivants ont suffi à maintenir l'éspèce dont la population à retrouver le niveau de celle d'avant le refroidissement climatique avec l'aide des dresseurs. On remarque qu'aujourd'hui les pyronilles deviennent de plus en plus en vogue dans les grands tournoi et devient un véritable phénomène de société. Cependant, les pyrax demeurent rares, bien que activement recherchés par les dresseurs de tous bords. Un des rares pyrax - le plus puissant non sauvage- est sans conteste celui du célèbre goya, maître d'Unys. Voici une petit histoire autour du temple et de son pyrax : Les darumachos au mode transe. A la même époque, des darumaronds et des darumachos devaient survivre au désert alors que les derniers arbres tombaient en cendre sous la fournaise. Leur type feu les protégeaient de la chaleur, mais sans eau, pas de survie possible. Se regroupant, ne sachant où aller, ils formèrent deux groupes pour augmenter leur chances de survie. Un devait bifurquer vers le nord, les autres vers le sud-est. Le groupe du sud-est eut plus de chance, là il y avait de l'eau, de la savane et sur les hauteurs quelques forêts. Celà correspond au sud de la route 4 contemporaine, où se trouve aujourd'hui le désert car à l'époque celui-ci était plus au nord avait que les vents et que la déforestation ne le déplace récemment vers le sud. En revanche, le groupe cheminant vers le nord fut pratiquement totalement décimé. Les darumaronds avaient tous péri, et de tous les dorumacho, ils n'en restaient plus que 5. Au bout de force, prêt à s'écrouler pour ne jamais se relever, au milieu de la tempête de sable, ils se mirent en mode transe pour économiser leurs dernières forces, sachant qu'ils ne pourraient plus en sortir. Cependant, ce qu'ils ignoraient, c'est qu'à quelques mètres d'eux, ils y avaient un vieux temple, qui dégageaient une quantité d'énergie phénoménale. Or en mode transe, le darumacho se nourrit exclusivement d'énergie. Le même processus qu'à pyrax s'appliqua : l'énergie d'arcéus les maintint en vie alors que le temps s'écoulait et ceci jusqu'à nos jours. Leur particularité ? Ces dorumachos sont les seuls à encore posséder la capacité spéciale "mode transe" ! Les autres dorumacho, tous décendants de l'autre groupe plus au sud ont vu la leur évoluer pour devenir "sans limite", plus efficiente dans un environnement avec une nourriture abondante, où l'action est plus favorable que l'économie de son énergie. Ainsi donc, l'apport d'énergie du temple compensait leur perte d'énergie. Un jour, un maître pokemon a redécouvert le temple enfoui sous les sables et prêt de l'entrée, celui-ci a trouvé des statues qui l'ont intriguées car elles ressemblaient à des dorumachos vivavants, bien que plus gros que ceux actuels. Curieux, il appela son lucario qui confirma qu'une mince aura, à peine perceptible, entre la vie et la mort, émanait des statues. Poussant son investigation, le maître pokemon chercha alors à réaminer les statues. Usant d'attaques et de baies en tout genre, il chercha pendant dix ans à trouver le moyen. Finalement sentant sa mort prochaine et ayant renoncé par désespoir à espérer un jour y parvenir, il offrit une offrande à une des statues : un bonbon rage. Et la créature s'éveilla et du mode transe, elle retrouva son mode normale, après tout ce temps. Ce dont le maître ne pouvait se douter, c'est que le bonbon rage était, à l'origine, une offrande des hommes réservé au culte d'Arcéus, et plus précisémment des hommes de Michina, remerciant Acéus de les avoir sauvé d'une météorite, qui aurait détuit toute trace de vie sur terre. Ce bonbon avait été béni par le dieu lui-même. Ainsi, "réssucitant" les autres Dorumacho, les descendants du maître firent croître leur nombre. Ainsi, on estime aujourd'hui le nombre de dorumacho avec le mode transe revenu à une vingtaine d'individu, comme quoi un vieux temple en ruine et poussiéreux peut encore avoir quelques utilités ! |
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