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Lecture d'un chapitre



Lecture du chapitre 11
Nom de l'œuvre : le livre de l'histoire II : l'ère des hommes ? Nom du chapitre : Retour à la civilisation parmi les hommes.
Écrit par willilaurent Chapitre publié le : 15/4/2013 à 09:03
Œuvre lue 14166 fois Dernière édition le : 15/4/2013 à 09:03
Cynthia détailla avec une grande impatiente le grand stade du regard.
Son rêve de gosse de concourir pour le titre de champion allait se réaliser. Elle en était sûr.

Elle avait failli arriver trop tard pour s'inscrir, mais grâce à l'intervention de Goyah, le nouveau champion d'Unys depuis 1 ans, la réceptionniste n'avait pas vu passer l'heure.
Cynthia les avaient trouvé en pleine discussion et bien qu'elle ait eu 10 minutes de retard sur l'horaire officielle, elle avait pu s'inscrire et lorsqu'elle était sorti, la receptionniste affichait un sourire béat.

Elle admirait certes le talent du champion. Elle-même avait assisté à son match de sacralisation l'année passée et son Pyrax en particulier l'avait laissé sans voix tant il était magnifique.

Mais maintenant qu'elle avait connu Red, elle avait comprit qu'elle ou Goyah n'avait rien d'exceptionnel.

La véritable exception, c'était le lien parfait qu'avait eu Red avec ses pokemons.
Elle ne savait pas si ses pokemons qu'elle avait entrainé jusqu'au niveau 70 pour Carchacrok atteindrait un jour des niveaux incroyablement élevés comme le pikachu de niveau 88 de Red, mais elle était à présent certaine de suivre la bonne voie : son lien c'était depuis quelque temps transformé en amitié.

Il était temps de se confronter aux chosex sérieuses.

Profitant du temps magnifique, elle se perdit dans la cohue dense qui régnait partout en appréciant étrangement le contact retrouvé avec la civilisation.

Les rues étaient animées et des stands étaient éparpillés un peu partout.
Elle ne voulait rien acheter, seulement apprécié le moment et l'inscrire dans son histoire.

Elle lut au passage quelques bouquins sur les plantes dans une librairie qui lui confirmèrent ce qu'elle avait débattu avec Marc.

Satisfaite, elle continua jusqu'au bout du marché central et un attroupement attira son regard.

Des dresseurs se pressait devant une scène pour écouter les propos d'une figure atypique qui semblait captiver la foule par sa verve et par ses gestes grandiloquents qui appuyaient sa voix grave.

Achetez mes livres de stratégie et la victoire vous est assurée ; pour deux livres achetés, j'offre en prime un fascicule rappelant la liste des objets pouvant être utiliser durant un combat. SI vous avez des questions, l'expert dracologue est à votre disposition !
J'ai un arcanin -dit alors un garçon de taille moyenne – contre un type dragon, quelle attaque je dois lui apprendre ?
J'en parle dans mon livre, mais je réponds quand même à la question, il peut apprendre colère.

Le garçon poussa un hurlement de joie et annonça que finalement, il allait acheter quelques bouquins, d'autres personnes furent aussi interressées, l'instant d'après une file d'attente se forma.
Le vendeur semblait particulièrement fière de sa prestation.

Excusez-moi, mais j'aimerais avoir une précision. A quel niveau il l'apprend l'attaque ?

Une fille, cette fois, s'était adressé les yeux regorgeant d'admiration pour le vendeur.
Celui sembla géné, mais voyant le regard de nombreux personnes se tourner dans sa direction, il dit finalement que c'était par maître de capacité.

Pour Cynthia, s'en était trop.

Votre Arcanin doit être génétiquement modifié alors.
Sa voix avait été chargé d'ironie mordante et la réaction du pseudo-connaisseur de stratégie ne se fit pas attendre.

Mon Arcanin connaît l'attaque colère, espèce de gamine ignorante.
Quel maître le lui a enseigné ?

Son intervention avait stoppé les ventes et tout le monde avait les yeux braqué sur elle.
Le vendeur hésita, puis bégaya un nom imcompréhensible avant de se raviser et de prétendre qu'il ne se souvenait plus de tout ce qui était écrit dans le livre.

Le sourire de Cynthia devint carnassier.

Arcanin n'apprend pas plus l'attaque colère que magicarpe connaît l'attaque rebond, je parie que votre Arcanin connaît depuis le début l'attaque colère et c'est normale, il ne peut l'apprendre que par reproduction !
C'est peut-être vrai, admit-il la mine dépitée se rendant compte de son erreur. Non revenez !

Il suppliait les gens de rester mais ceux-ci ne se laisser plus berner et les ventes qui devaient être prometteuse allait très certainement s'effondrer.

Furax, il se dirigea les points serrés vers Cynthia se montrant menaçant laissant tomber son masque de gentil auteur.
Tu sais la fortune que j'ai du dépenser pour me payer ce stand et la publication que coûte mes livres. Tu viens de me ruiner !

Complétement hors de lui, il avança d'un pas et agrippa Cynthia au col en lui balançant son poing dans la figure. Cette peste allait payer.

Il poussa un hurlement de douleur alors que dans mouvement fluide de cheveux tourbillonands, elle esquiva et tordit son bras d'une torsion brusque lui déboitant l'épaule.

La fixant plus prudemment, il hurla à l'encontre des spectateurs choqués par son compotement :

- Ce n'est rien, je me suis juste un peu emporté, mais vous avez devant vous l'opportunité d'assister
à un match pokemon.

Les personnes qui s'étaient éloignées firent volte face au mot « match ».

Cynthia savait que l'homme jouait son va-tout mettant sa réputation en jeux.

L'homme sorit une pokeball et appela son Arcanin, un puissant représentant du type feu.

Elle aurait voulu éviter cela, mais elle sortit tout de même sa pokeball.

Alors peur d'avoir la raclée ?

Il semblait sûr de sa victoire, beaucoup trop.

Non, mais je crains juste de nuir encore davantange aux ventes futures. Carchacrok , battle dance.
Carcha !

La foule poussa une exclamation de surprise; celle qu'il avait prise pour une dresseuse orgueilleuse devait apparement concourir à la ligue.
Le vendeur afficha lui aussi un air inquiet, mais il l'effaça vite en commençant aussitôt les hostilités.

Arcanin, montre lui notre colère !

A la vitesse de l'éclair, le renard de feu se précipita sur le dragon et le rua violemment de coups puissants super efficaces sur un type dragon.

Carchacrok n'avait pas bougé.

Alors on dirait que ton Carchacrok est intimidé, railla-t-il, acoompagné par les rires de quelques imbeciles.

L'attaque aurait du rendre confus Arcanin, mais la baie qu'il tenait fit son effet et il retrouva tous ses esprits.
Remerciant d'un revers de main triomphaliste quelques aplaudissements, le vendeur plus lourdeau que jamais hurla :
-Attaque ultralaser.

Le rayon atteignit de plein fouet Carchacrok qui fut expulsé à quelques mètres de là et la fumée recouvra le combat.

La surprise et l'imcompréhension traversèrent la foule alors que Carchacrok étaient toujours debout, tout juste un peu endolori.

Carchacrok, il est temps de mettre fin à cette comédie, j'ai encore envie de manger une glace.
Arcanin, continue d'attaquer, boutefeu maintenant !

Rapide comme l'éclair, le pokemon s'entoura d'un voile de braises incandescentes et piqua sur Carchacrok, qui d'un casse brique désinvolte sur le crâne l'envoya en vol planée sur une vingtaine de mètre s'écraser sur l'étagère pleine de livre qui explosa en mille morceau sous l'impact.
Arcanin était au tapis.

-Beau travail Carchacrok.

Elle regarda intensément le vendeur puis se détourna en lui lançant par derrière.
Merci beaucoup d'avoir servi de digestif à Carchacrok, il avait besoin de décompresser un peu.

Le restant de l'après-midi se passa sans incident notable jusqu'au moment où deux journalistes de pokemon global link- la télé qui relie les dresseurs du monde entier- l'appostrophèrent.

Bonjour, je vous est reconnu de loin, je peux faire une interview.

Devant le regard inexpressif de Cynhtia, la journaliste se tendit.

Vous êtes bien Cynthia, la fille du maître ?
Oui c'est bien moi.
Mais c'est parfait, je vous est trouvé la première ! Venez, venez, tout le monde ve vous entendre, je vais faire de vous une star ! Je vois déjà les titres du 20 h : Cynthia, la fille de Maurice a fait une entrée remarquée aujourd'hui en reduisant un stand de vieux bouquins en miette.
Observant Cynthia comme un scoup inédit, elle ajouta : en plus vous êtes jolie, c'est parfait, juste un peu de phare à paupière et le public vous aimera.
Je préfère faire l'interview ici, dit-elle se dégageant de la poigne du journaliste.
Oui, bien sûr je comprends, asseyons-nous là alors- elle désigna un banc en pierre.

Elle sortit une paire de lunette rouge ornée de petites figurines de rondoudou, ainsi qu'un carnet de note couleur rose bonbon.

Avez-vous le sentiment d'être écrasé par votre père ? Vous partcipez pour vous affirmer non ? Pensez-vous être capable de le battre ?
Je suppose, dit froidemment Cynthia.

La journaliste griffona quelques notes dans son carnet ( La pauvre jeune fille perturbée que j'ai devant moi est au bord des larmes quand elle parle de son père.)

Et dîtes-moi, votre père a-t-il pu vous élever avec ses activités de maître ?
Oui plutôt, même si il devait souvent s'absenter. ( elle griffona : je l'écoute la réconfortant lorqu'elle avoue un peu honteusement que petite elle a du souffir les longues abscences de son père).
Et comment vous a-t-il traité, à la dure j'immagine ?
Ah ça oui, il ne m'a jamais fait de cadeau ! Non sérieusement, il n'a jamais voulu faire de moi une bête de combat, mais il fallait que je me plis à une certaine discipline, qui est fondammentale et élémentaire pour un dresseur de son gabari. ( Elevée durement par un père sans tendresse, elle garde des séquelles psychiques graves suite à des exercices périeux où elle risquait sa vie.)
Bien, je crois que j'ai ce qu'il me faut, merci beaucoup.
La journaliste s'apprétait à se lever.

Un instant s'il vous plaît, j'aimerais voir vos notes.
Par... pardon !
Vos notes !

D'un mouvement brusque, elle arracha la feuille des mains de la journaliste qui sentit le sang lui monter aux joues.
Elle fut déconcertée par le sourire que Cynthia lui affichait avant de lui retendre la feuille à moitié déchirée.

J'ai particulièrement aimé le «  pauvre petite jeune fille perturbée ».
Vous m'en voyer ravi.
Vous êtes Alma Steeker ?
Oui et d'où connaissez-vous mon nom ?
C'est bien vous qui avait traité mon père de vieux cornichon sénile et dérangé.
Allons, il faut bien appater la foule.
Je vois, fit Cynthia. Mais je vous préviens, je n'aurais pas la même tolérance que lui.
Parce que vous croyer que vous allez gagner !

La journaliste laissa échapper un rire strident la faisant ressembler à une chauve-souris coiffée de lunette rondoudou avant de s'éloigner.

Déjà, elle avait rejoint ses homologues masculins plantés sur le banc d'en face, ceux-ci l'observèrent avec un mélange de matchisme et d'envie pour certains qui la fit frissoner.

Dans quel monde vivait-elle ?

Toute son enfance avait été préservée dans une bulle crée par son père.
Adolescente, sa connaissance des aspects moins reluisants de l'homme avait été tout aussi limitée car les dresseurs se différenciaient beaucoup des autres hommes.

Le lien qu'ils tissait avec les pokemons les transformaient, les faisaient grandir.

Il y a encore cinquante ans en arrière, Sinnoh était à majorité écrasante rurale et donc tous les hommes étaient en contact avec les pokemons dans une relation de partage donnant-donnant.
Ce qui avait en partie changer depuis.

Une nouvelle classe d'homme, en général des citadins des grandes villes, ne cohabitait plus du tout avec les pokemons.
Cynthia avait ainsi été choquée lorsqu 'elle avait lu dans un article de presse que 50% des citadins n'avaient jamais eu de pokemon.

Un autre article du même genre critiquait avec virulence la perte de contact avec les pokemons, phénomène qui étaient notamment expliqué par l'émergence d'organisation mafieuse et souvent terroriste qui sévissaient dans toutes les régions du globe diffusant une idéologie de superorité de l'homme si bien qu'en contre-réaction des illuminés cherchaient maintenant une terre promise où les pokemons pourraient vivre en paix à l'abri des hommes.

« Leur terre et la nôtre ne sont qu'une seule et même terre », songea Cynthia.

Mais pire encore, des partis politiques extrémistes gagnaient du terrain.
Les plus crédibles prônaient l'assujétissement des pokemons, les plus fous proclamaient ouvertement que les pokemons étaient inférieures à l'homme.

« Quelle ignorance, les pokemons et l'homme ne faisaient qu'un il y longtemps. »

L'expression triste, elle observa à nouveau le grand stade alors que le soleil disparaissait lentement derrière l'horizon.

Que représentaient les combats pokemons pour la plupart des spectateurs ?

Un divertissement ? Un moyen d'étaler sa force ? Pouvoir se démarquer des non-dresseurs ?

Un éclair de compréhension lui traversa l'esprit.

C'était cela la tâche d'un dresseur ultime, faire rêver, faire chavirer les coeurs, les gens ont besoin de voir des miracles et c'était à son tour de leur en donner !

Elle songea à ces petits enfants qui préféraient désormais jouer à pokemon sur leur DS plutôt que d'aller affronter le monde extérieur accompagnés et soutenus par des vrais pokemons.

Pourquoi était-ce si capital ?

Parce que l'homme et le pokemon se construisent mutuellement.
Il lui sembla que ses forces largement entraînées et poussées à leur limite s'étaient encore épanouies sous le coup de la révélation.

Oui, exactement comme Red. Elle se souvint alors de cette maxime de Shorgan :

« Quand j'étais jeune, il y a 60 ans, la guerre venait de se finir dans un ultime et terrible bain de sang, tout était à reconstruire, la première chose qui s'est reconstruite, ce fut le lien avec les pokemons. Ce furent les pokemons qui réconcilièrent les humains entre eux. La figure, le symbole de ce qu'était le dresseur d'alors m'a porté jusqu'au sommet.
Pendant quarante ans, alors que la technologie partout se développait, les dresseurs étaient des héros, des idoles et j'ai eu l'immense privilège de pouvoir représenter l'espoir des jeunes dresseurs. Maintenant mon temps arrive à sa fin, et ton père ne vivra pas non plus éternellement. Il est temps de passer à une nouvelle génération de héros. Montre à tous les ignorants qui chercherons à te mettre des bâtons dans les roues que les pokemons sont nos amis, et pas des esclaves.
Cynthia, promets-moi de protéger les pokemons. »

Un sifflement mis subitement fin à son état léthargique.
Elle venait de s'engager dans une petite ruelle sombre et mal éclairée. Elle vit donc trop tard qu'elle était prise au piège entre deux groupes de 3 hommes, bloquants la rue par les deux côtés.
Ils se rapprochèrent encore davantage.

Eh poupée, t'as envie de baiser ce soir ?
Je te kiffe grave.
Chacun son tour les mecs.

Cynthia les regarda avec une expression indéchiffrable. Pas de peur chez cette fille, même pas une brindille de tressotement.

Un des loubards, sans doute le meneur du gang se précipita alors vers elle et la prit au cou.
Un pied dans les burnes le fit s'écrouler par terre comme une poupée de chiffon.

Un des hommes sortit dans la seconde qui suivi un couteau tranchant.

Tu vas sagement nous suivre sans faire d'histoire, on va être gentille avec toi si tu te laisses faire, d'accord ?
Ouai, tu captes ce qu'on te dit ?!

Cynthia n'avait toujouers pas répondu et attendait.

Quand il ne furent plus qu'à un mètre d'elle, elle sortit sa pokeball.
Les comparses du type au couteau se figèrent.

-Ah, un combat, tu veux jouer à ça, t'as aucune chance contre nous cinq, nous sommes les Démolosses, un groupe de cassos qui sème la terreur dans la ville et tout le monde pisse dans son froc quand il nous voit !

Cynthia n'en pouvant plus laissa échapper un rire tonitruant.

Que vous êtes ridicules, les démolosses, pourquoi pas les Carvanas.
Cela dit, elle lança sa pokeball et révéla le pokemon qu'elle avait choisi.

Les cinq bohnommes et le sixième qui se massaait toujours les burnes poussèrent alors des hurlements de terreur alors que des milliers de spectre tout droit sorti de leurs pires cauchemars s'abattaient sur eux comme une malédiction sans nom.

Vous vouliez de la peur, vous allez envoir. Envoie la sauce.

Les apparitions fantômatiques devinrent encore plus féroces et monstreuses.

Les six « Démolosse » fuyèrent comme des rattatacs.

Cynthia, serrant Spititomb dans ses bras se donna à coeur joie à son fou rire qui gagna alors Spiritomb qui émit une sorte de crissement satanique.

Cynthia était aux anges, elle avait échanger son premier fou rire avec Spiritomb. Leur lien était scellé.




Sur l'olympe.

Une salle qu'ils ont enfin réussi à ouvrir grâce aux trois esprits du lac.
Au centre se trouve une statue poussiéreuse mais qui attirait l'attention car ses pupilles semblait luir d'une lumière rouge : les restes D'Arcéus.

Les trois dragons millénaires sont réunis autour d'un petit autel sur lequel se trouve une clé qui n'a rien d'ordinaire. Un observateur avertit verrait qu'elle lévite à quelques millimètre du sol.
Derrière dans l'ombre se trouve un dresseur, mais pas ordinaire non plus.
La voix du dragon le plus imposant, sans doute la plus féroce des trois s'éleva alors.

C'est bien la clé de Red ?
Certain, avait répondu le dresseur.
Bien, le fait que tu es pu la toucher prouve que le dresseur ultime est ta descendance. Nous lui remettrons la clé comme prévu le jour de sa victoire.
Giratina, regardes la clé.

C'était Dialga qui venait de prendre la parole. Mais sa voix ne sonnait pas comme d'habitude, elle recelait d'émerveillement.

La surprise se dessina sur le visage de Giratina.

Maurice était demeuré impassible.

Une pluie dorée jaillissait de la clé comme d'une fontaine divine. La clé brilla alors d'une lumière aveuglante et tomba au sol.

Derrière eux, les pupilles de la statue viraient lentement au gris acier et une arcane d'un bon mètre de diamètre se déssina au sol à l'endroit où la clé était tombé à terre.

- Le dresseur ultime vient d'être reconnu comme tel par la clé, conclut la voix solenelle de Palkia.

Sur Terre.
Cynthia avait du rêver mais il lui semblait que sa perle s'était paré d'une couleur or éclatante pendant un court instant.

Mais ses doutes furent contredits par un voile qui sembla soudain explosé dans son esprits.
Elle se trouvait dans une immense salle immatérielle avec autour d'elle d'autres hommes et des femmes, une bonne centaine de gardien.

Ils avaient tous le regard fixé sur une petite fontaine au centre d'où une eau cristalline recommençait à jaillir.

Puis sa conscience réintégra subitement son corps.

- Quelle journée folle, plaisanta Cynthia, j'espère qu'être maître de la ligue est plus reposant !
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